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Retour vers Le cothurne étroit

Extrait du commentaire de
Versus vitæ

Si ce n'est pas encore fait, lisez « Versus vitæ » avant de lire la suite de cette page.

Ce poème en alexandrins dédié à Benjamin Button compte 70 mots, autant que sa vie a compté d'années. Pour en savoir plus à son sujet vous pouvez consulter Wikipédia.

Ce poème se déroule à l’envers, comme la vie du héros de la nouvelle L’Étrange Histoire de Benjamin Button, de F. Scott Fitzgerald. En lisant les mots du dernier au premier, on obtient :
Né dans la peau d’un gars de soixante-dix ans
Dont le corps rajeunit quand il avance en âge,
Son triste sort est d’être en butte aux médisants,
Miné par ses projets toujours en décalage.
Sa femme, après quinze ans, est vieille plus que lui.
La suite du récit, où l’on va le voir choir,
Décline guerre, emploi, fac, sport, école, puis
Termine en son berceau quand tombe un voile noir.


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