Dissociation
Je suis le ténébreux, — l'
Euphorbe -eau veuf, — ou dégommé,
Vieux doge de Padoue. Ô bée, abîmé, dôme.
Du feu qui a fugué, du vivide oud aimé,
J'évoque fade vide, aboi qu'avive baume.
Ogive du koubba : qui m'y bagua pâmé ?
Ah, qui a vu magique Adige où voguai, môme !
J'ai humé mauve à Pâque où ma foi m'a paumé,
M'égaya hampe du gamay doux à ma paume.
Qui : homme ? Jéhovah ? Qui : pape ? mikado ?
Je divague, ébahi du gage de ma dame ébaubie ;
Du quai j'ai divagué au fond descends, redescendait sans cesse en vain
La rose est son iris en pire rire.
Las, je vis goût amer, — si confus, — sans répit,
Cossu gars de Limoux à ce piton chutant :
Le sphinx fondu rasé, — pis, mon but travesti
Sourd dans le nid obscur par ses parents et par la nature d'estimation et aux recommandation, je ne dois pas hésiter à me confier à vous pour ces mecs,
Devient amusement et l'agacement.
— Justement, j'ai une étoile, et ce luth constellé
Ne connaît Isis et Phœbus, Thèbe et Delphe.
Paris en flamme envoie à mon front ? Même avec une rivière
Et une grotte : un âge de Silène...
Et j'ai de joie, moqueur, renversé les hauts cris de la fée
Chaînes de Markov littérales (aussi appelées « dissociated press ») engendrées soit par l'ensemble des avatars se trouvant sur ce site, soit uniquement par ceux qui sont des sonnets. Un nouveau texte est engendré chaque fois que l'on réaffiche cette page.
© Gilles Esposito-Farèse & Collectif – 2013