Dissociation
Je suis le tabellion, — le veuf, — l'inconsommé
Le printemps, le vert de prairie.
Mormant suivant le cours de la reine des prés ;
J'ai rêvé dans la grotte où nage la Sirène.
D'échevin cœur vainqueur qui plaisait tant à mon cœur désolé.
Puis un château de Biron
Toi, veuf à Lusignan, Anthéron ?
Ô, noble, l'étais-je ! Jenny, nymphe héroïne ;
N'est-elle la déesse ?
Que n'a pas dévoré la horde des mulots ?
Que fait Bacchus quand il est accablant.
Empereur d'Occident quantifiable,
Jardine une sierra; l'onyx ferait ombrer
Sérieux obits de chant, caïeux sans ginseng niable.
Être Balakirev, en pleine activité. En un vers vous avouerez posséder une particularité physique (érotique) et proche des rois et des princes de la tour démolie
Mon ciel resplendissant, entrer notre Achéron est désolé, — et ma sirène nage...
Ensuite — double essai — franchîmes encor le terrible gouffre.
Ailleurs, Orphée offrait bizarres désarrois :
Bâillements d'une étreinte avorte, et mon luth constellé,
Aux raisins.
Suis-je humour ou rébus ?... Parmesan ou Masson ?
Monnet est une personnel.
Chaînes de Markov littérales (aussi appelées « dissociated press ») engendrées soit par l'ensemble des avatars se trouvant sur ce site, soit uniquement par ceux qui sont des sonnets. Un nouveau texte est engendré chaque fois que l'on réaffiche cette page.
© Gilles Esposito-Farèse & Collectif – 2013