Traductions en chaîne
Je suicide votre curieux, — votre veuf un jour encore impétueux,
Votre prince couleur d'averse, encerclé par votre cortège d'aberrations :
Avion mort, seule étoile à l'est, — et mon éclat assuré
Porte votre Soleil Noir chez votre mélancolie.
Dedans, chez vous, la nuit, grave, à mon aise parmi chacun de vos
arômes
Amenez-moi votre fracture et votre mer d'Italie ;
Votre fleur ; n'importe quel chemin de faveur vers mon cœur —
excusez-moi.
Et révélez votre pamplemousse vers la vis de votre camarade de jeu.
Suicidé-je l'amour ou la scène ? Lunettes de soleil ou biologie ?
La façade rouge est ailleurs encore, monsieur : entre les buissons de votre reine.
J'aime le jade endormi de votre cave, ou la perle de votre mère la sirène ;
Et j'aime le jade des deux alliances, vainqueur de l'acheteur l'autre
jour, à l'aube d'une autre page.
Modèle, passage après passage vers votre enveloppe de pommade
ornementale pour les lèvres,
Vous dînez, saine et sonore, chez votre fée.
Le texte original a été traduit mot à mot en anglais par le logiciel « Berlitz Interpreter ». Les mots anglais obtenus ont été à leur tour traduits en espagnol par le même logiciel, puis le résultat en allemand, puis en italien, et finalement en français. Le texte final a été retouché à la main pour en corriger la syntaxe.
Noter que Berlitz Interpreter remplace les mots qui ne figurent pas dans son dictionnaire par des mots voisins, par exemple « Aquitaine » par « aquarelle » ou « Lusignan » par « lunettes de soleil ».
© François Larue – 2001