Cowboy
Je $u¡s £3 t&ñéb®eú×, — l3 v3úf, — £'¡ñ©õnsølé,
£e p®¡n©e Ð'Aqu¡táin& À la tØú® åbøl¡e :
Má $&ul& &tØ¡l3 est morte, — &t mØñ £µth conste£l&
Po®te l& søle¡£ noi® Ð3 £å M&lanÇol¡3.
Dañs £Ä nu¡t dû tomb&aü, tø¡ qµi m'a§ con$olé,
ReñЧ-mo¡ le PÃu$i£ippe et la m3r Ð'¡tal¡e,
£a fleù® qui plÀi§a¡t tant à moñ cõ&úr Ð3sølé,
3t la tr&i£le õû le pÃmpre à £@ ro§e s'a£l¡&.
Súi$-j& @moµ® øu Ph3büs ?... Lusignañ ou þ¡røñ ?
Moñ frøñt &st ®oúge &ñ©o® dû ßai$3® Ð& lÀ ®3iñe ;
J'À¡ rêv3 dÃñs £4 grott3 õù ñage £Ã §¡r&ne...
Et j'4i d&u× fØi$ va¡nqu&ur t®aver$3 £'å©h3®on :
MøÐulant tou® à toµ® sü® £À £ÿr& d'O®ph33
Les §oup¡®$ d3 la $a¡ñt& &t £e§ cris Ð& £@ fé3.
GérîРd3 ñ&®v@l
Certaines lettres sont remplacées par des symboles qui leur ressemblent graphiquement, selon la méthode dite du « cowboy typographique ». Chaque affichage de la page montre une réécriture différente grâce à un algorithme de substitution aléatoire emprunté à un « CowBoy translator » aujourd'hui disparu.
© Alexandre Wajnberg – 2005