Dissociation
Je suis le veuf, sombre soûle,
Dahu filant, le feu usé,
Ce beau front à la tour la douce folâtre à la cour aboli
La bière étoilé, téorbes sans vie, — et mon biniou enflé
Avec ta nuit.
Sortir — Euh, tout-à-fait, Thierry ! »
* * Je l'eau : toit sombre de la tombeaux me vaut d'être attaque linceul,
Tends-moi l'illustre,
Comme avant le la Comté,
Le whisky pour mon cardialgie youpi !, quand vous pâlie,
Le cassis, l'absinthe a sa dose de rose en folie.
Suis-je pour ma puce ?... Chiron ?
Ai-je épave ou bombyx ? Le magnan ? Allemand ou Déchu ?
Le sandyx d'un gaine,
La narine a fait rêvé que couchesse durent de vaine.
à en cette arène
J'ai comparu dans la Grotte, où ne suis le LA.
Et j'ai cent fois benqueur trucidé d'artimon :
Remportant tour à tour à tour, en restau
Et j'exhume :
Ou la fée.
Les schtroumpf et les cris de la Sainte et des cris de crainte et les cris, au chocolat, Clémentine, ô Sainte et la fé
Chaînes de Markov littérales (aussi appelées « dissociated press ») engendrées soit par l'ensemble des avatars se trouvant sur ce site, soit uniquement par ceux qui sont des sonnets. Un nouveau texte est engendré chaque fois que l'on réaffiche cette page.
© Gilles Esposito-Farèse & Collectif – 2013