Barthésien
Je m'énonce le T. J'ai perdu X. ma compagne/femme/partenaire/pacsée/amante. Je suis in-con-solé
C'est une machinatio rurale qui m'enracine dans une ruine acquitaine (acquis-thème) qui sublime mon « moi » (et toi ?)
Ô Sonnenschein ! Wie bist du doch so schön, so schwartz und so kalt !
La libido phœbale se théorise /rentabilise « irréductiblement » sous forme destructrice
Sur ce-que- je-ressens- moi, personnellement, on pourrait me taxer de "difficulté d'habitat"
Dans l'assombrissement (de la nocta) du tombeau/stèle, tu as fait ré-gressé, "toi", mon mal/douleur, dolor sentidi
Poursuis ton œuvre rédemporielle en remettant mes œufs-dipes de la mer-de Italie / Capri ce n'est pas fini.
J'exige un Rendu de ce qui a trait à la culture œno-florale (vin, treille, pampre, rose, lilas/salis
(mais comme l'aurait dit Pierre Louys tu n'en as rien à foutre)
Je vis un désir de savoir : À. ou P. ou L. ou B. (ou vice et versa ou réciproquement)
Anamnèse : rouge (bolchevik ? révo cul dans la Chine pop ?) est mon front, de la reine le baiser pris, ravi, dérobé, cueilli, érotisé, cultivé (ma mère m'emmenait voir Hernani quand j'étais petit)
Je réalise un parcours natatoire en milieu aquatique /chimérique. Immersio comme l'écrit Michel Butor, baptismos des Grecs, plaisir du bain (parfois une sonnerie m'interpelle en immersion)
Et j'ai deux fois vainqueur, oui par deux fois gagnant, arrivé premier (the first) tra/versé le fleuve/rivière/ru/passage/gué/ issue, mort (morituari te salutante, ave Sénèque )
Courbe folle de la mélodie, de la mélOrphée,( logosphère panthéonique.)
Oscillation du Pleuré sainte/éthique et du Crié féérique, fée d'Eric . Fluidité du glissement vers l'au-delà.
Rolard de Barval
Pastiche de Roland Barthes (1915-1980). Entre autres, d'après Le degré zéro de l'écriture (Point, 1973), La préparation du roman (Seuil, 2015) et une belle analyse de Burnier et Rambaud avec Le Roland-Barthes sans peine (Chifflet & Cie, 2015).
© Alain Zalmanski – 2016