Ce texte a été écrit lors d'un atelier au festival Pirouésie.
La consigne d'écriture était : écrire un haïku argentin : trois vers de 5, 7 et 5 mots faisant apparaître verticalement un mot de trois syllabes, qui est aussi l'objet du poème.
Ces deux haïkus argentins cachent le mot « gondolier » : le premier phonétiquement (seconde, fardeaux, escaliers), le deuxième littéralement (agonit, dont, oublier).