Ce texte a été écrit lors d'un atelier au festival Pirouésie.
La consigne d'écriture était : écrire un (ou plusieurs) sept-un-neuf.
Le sept-un-neuf original, inventé par Patrick Biau, est un poème de trois vers comptant respectivement sept syllabes, une syllabe et neuf syllabes. La variante de Benoît Richter consiste à compter sept, un et neuf mots plutôt que des syllabes. Valérie Lotti a proposé de concilier les deux en n'utilisant que des mots monosyllabiques.
Mon premier exemple est un sept-un-neuf de mots, mon second un sept-un-neuf de syllabes. Dans les deux cas tous les mots sont monosyllabiques sauf un qui est au contraire très long.