Ce texte a été écrit lors d'un atelier au festival Pirouésie.
La consigne d'écriture était : écrire une babebine, c'est-à-dire un poème où les syllabes finales de chaque vers présentent phonétiquement les mêmes consonnes mais des voyelles différentes.
Classiquement, la babebine se compose de 5 vers utilisant les voyelles A, E (ou É ou Ê ou EU), I, O et U. Celle-ci en comporte 7 avec l'utilisation à la fois de È et EU, et l'ajout de OU.