Ce texte a été écrit lors d'un atelier au festival Pirouésie.
La consigne d'écriture était : écrire un texte reliant une première et une dernière phrase imposées, en employant le plus possible de mots pris dans une liste donnée.
La première phrase : Quand la mer monte, le bulot descend, a été écrite par un participant. Elle est ensuite passée de main en main, chaque participant écrivant une négation de la phrase qu'il a reçue, sans voir les précédente. Le résultat de cette sorte de « téléphone arabe », qui a servi de dernière phrase au texte, a été : J'aime le silence.
Les mots à utiliser ont été proposés par les participants. J'ai fait le choix de les inclure tous. Ils apparraissent en italique dans le texte.