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Retour vers Le cothurne étroit

Chimères

Un vieux rat-daim me racontait ses freux-daines avec une bande de loups-bars. Et pourquoi pas des souvenirs de vers-daims, ou même de louve-oie, tant qu'il y était ! Il parla ensuite de son rat-chat... Je n'avais pas pie-geai, je ne voyais pas le rat-porc. Après un coup d'œil à la clebs-hydre je prétextai un urgent besoin de pie-pie et sortis, en pou-faon, admirer le jars-daim. Devant le chat-laie s'étendait un petit ver-geai. Quelques poux-laies et d'adorables canes-thons entouraient un gros ver-rat. Un chat-thon attrapait des mouches-tiques. Je me sentais vraiment laie-geai. J'observais un pie-ver qui dévorait des ânes-thons, quand soudain quelque chose agrippa mon jars-raie : c'était un pie-thon, ou peut-être un hase-pic ! En protégeant mon sterne-homme, je fis un mouvement de pie-veau et passai en courant le porc-tique qui gardait la bique-coq. Pendant que le cerf-paon semblait rat-geai, je savourai mon raie-pie en avalant un morceau de chat-ours. Moi qui n'ai jamais eu peur du loup-phoque !


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Nicolas Graner, février 2017, Licence Art Libre