Puissance et misère

Selon que vous serez puissant ou misérable,
les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. →
Suivant qu'on se trouvera soit éminent, soit insignifiant, un arrêt du tribunal nous déclarera soit pur, soit souillé. →
Noir ou blanc vous rendront, de cour, les jugements. Misérable ou puissant, que serez-vous ? Selon. →
Selon que vous serez puissant ou misérable, vous serez puissant ou misérable. →
Si les jugements de cour ne vous rendent ni blanc ni noir, c'est que vous n'êtes ni puissant ni misérable. →
Selon que vous serez blanc ou noir, les jugements de cour vous rendront puissant ou misérable. →
Si vous êtes de classe moyenne, les jugements de cour vous rendront gris. →
Selon que vous serez ramage ou plumage, les jugements de cour vous rendront honteux ou confus. →
Suivant que vos parents étaient puissants ou indigents, les jugements des braves gens vous rendront blanc ou dégoûtant. →
Moi, la Cour, selon que vous serez puissant ou misérable, je vous rendrai blanc ou noir. →
Parfois on est puissant, parfois on est misérable. Parfois on est jugé. Parfois la cour dit blanc, parfois elle dit noir. →
Si vous manquez d'argent et à vos obligations, la cour vous frappera d'indignité et au porte-monnaie ; mais si vous nagez dans l'abondance et en eau trouble elle vous rendra blanc et votre liberté. →
Selon que vous serez puissant par-devant ou misérable par-derrière, les jugements par-devant de cour par-derrière vous rendront blanc par-devant ou noir par-derrière. →
Selon que vous serez puissant, poil au sang, ou misérable, poil au râble, les jugements, poil aux ligaments, de cour, poil aux os courts, vous rendront blanc, poil au flanc, ou noir, poil aux mâchoires. →
Selon que vous serez schtroumpfant ou schtroumpférable, les schtroumpfements de schtroumpf vous rendront schtroumpf ou schtroumpf. →
Selon que vous serez puissant (de bœuf) ou misérable (de lapin), les jugements (poulinières) de cour (de ferme) vous tendront (de veau) blanc (de poulet) ou noir (animal). →
Selon que vous serez de petits choux couverts de bijoux ou de vilains hiboux pleins de poux, on vous comblera de joujoux ou on vous traînera à genoux sur les cailloux. →
Si vous êtes d'un haut rang, justiciable heureux, aucun jojo ne vous mettra au trou. Jeune coquin dit gauchiste, vos droits seront sévèrement violés. →
Selon que vous serez PDG ou SDF, les PV du TGI vous rendront OK ou KO. →
Selon que vous serez plein aux as ou simple valet, le roi vous ouvrira son cœur ou vous laissera sur le carreau. →
Selon que vous serez abbesse ou poissonnière, les conventions de la république vous rendront blanche ou terne. →
Selon que vous serez un César ou un Job, les Salomon feront de vous une Blanche-Neige ou un Barbe Noire. →
Selon que vous serez un gentleman ou un hippy, le jury vous rendra clean ou vous blackboulera. →
Selon que vous serez hiérarque ou métèque, les épithètes de l'aréopage vous rendront leucistique ou mélancolique. →
Selon que vous serez une sommité ou une canaille, la cour fera de vous une référence ou une crapule. →
Selon que vous serez un maréchal ou un vassal, le procès-verbal du tribunal vous rendra lilial ou infernal. →
Selon que vous serez un gentilhomme ou un bon-à-rien, dans le box on vous traitera en gentleman ou en maffioso. →
Si vous exhibez vos armoiries ou versez des arrhes sur vos émoluments, les assises vous accorderont sans ambages leurs félicitations. Mais les petites gens font les frais de leurs errements et subissent les affres des représailles. →
Selon que vous serez gros bourgeois ou impécunieux, après avis impérieux émis sans embarras vous deviendrez persona grata ou non. →
Selon votre statut, puissant ou misérable, des jugements de cour différents : blanc ou noir. →
Selon que vous serez puissant ou misérable, on vous jugera blanc ou noir. →
Selon que vous connaîtrez la puissance ou la misère, les jugements de cour affirmeront votre culpabilité ou votre innocence. →
Si vous voilà avec tout pour vous, au-dessus de tout un chacun, alors vous voici aussitôt tout à fait bien pour toujours. Et sinon ? Bien loin de tout ça, plutôt un moins que rien ? Paf ! Vous voici à jamais au plus bas. →
Selon que vous serez un noble riche ou un misérable indigent, les critiques pensées des incapables jurés feront de vous un candide innocent ou un coupable criminel. →
Opinions du grave juré devant éminent prévenu célèbre : actions valides, charges vides, relaxe complète. Mentions concernant braves types démunis : actes indignes, peines prononcées, amendes, prisons, exécutions... →
Suivant ton grade social, tantôt ton juge fait radier ton forfait, tantôt son être est contre tout débat mais cogne fort. →
Grand type fort influent attend son sort pour grief grave (viol, sang versé). A filé son or fin pour caution. Robin rend son édit allégé, lit par bribes, prône report. À présent, pour même grief, on put pincer minus sale, hère gêné, à bout. Suit rude sentence : mariner loin à vie, pal même ! →
Soyez Riche, La Cour Ne Dira Rien. Fauché, Elle Saura Dire Haro Sur Toi. →
Le grand homme, celui qui a quelque chose, on lui passe tout. Mais le petit sans rien, on trouve tout le temps qu'il n'est pas un homme bien. →
Selon vous, que faire ? Vous ne serez guère puissant ici, où un misérable joue les despotes : jugements privés de débats, cour vénale... Vous, ils rendront votre blanc terne, ou même noir. →
Selon puissance ou misère, jugé blanc ou noir. →
Puissant acquitté, misérable condamné. →
Jugement inique. →
Préjugé. →
Si l'on juge un puissant et un misérable, qui sera blanc, qui sera noir ? C'est toujours le puissant qui est blanc pour le juge, et le misérable qui est noir pour ce même juge. →
Un puissant et un misérable ?
Tout jugé, et bien jugé :
blanc, le puissant, tout blanc ;
noir, bien noir, le misérable. →
Cette phrase contient une fois le mot « selon », une fois le mot « que », une fois le mot « vous », une fois le mot « serez », une fois le mot « puissant », une fois le mot « ou », une fois le mot « misérable », une fois le mot « les », une fois le mot « jugements », une fois le mot « de », une fois le mot « cour », encore une fois le mot « vous », une fois le mot « rendront », une fois le mot « blanc », encore une fois le mot « ou », une fois le mot « noir », deux fois le mot « cette », deux fois le mot « phrase », deux fois le mot « contient », dix-sept fois le mot « une », trente-deux fois le mot « fois », trente-deux fois le mot « le », trente-deux fois le mot « mot », trois fois le mot « encore », douze fois le mot « deux », deux fois le mot « dix », deux fois le mot « sept », deux fois le mot « trois », quatre fois le mot « trente », deux fois le mot « douze », deux fois le mot « quatre ». →
Ce long queux voussé rée puis, sans tout miser, hâble. « L'ai-je eu ? » je mande, et cours vous rendre omble en couloir. →
Salon Queudes Vou Céret Puy-Saint-Vincent Houx Malétable Laix Jugy Madecourt Vourles Andres Montblanc Hounoux Arre. →
Sirloin curve ooze rape we sent whom is arab, leisure gem and a cure viewer end rum blend hoon who are. →
Camp ont haie eau placet houx cent hun saoûl las court fée deux noue dais sein houe dé pêcheur. →
Ce con, vous le suerez, pissant amis et roubles, jument gelée que d'Our vendront roublards ou nouant. →
```
      1   2   3   4   5
    +---+---+---+---+---+
  I |   |   |   |   |   |
    +---+---+---+---+---+
 II |   |   |   |   |   |
    +---+---+---+---+---+
III |   |   |   |   |   |
    +---+---+---+---+---+
 IV |   |   |   |   |   |
    +---+---+---+---+---+
```
Horizontalement :
I. Le puissant le deviendra.
II. Le puissant n'en a pas besoin pour rester serein.
III. Le puissant espère que la cour le sera.
IV. Le puissant ne les craint pas.

Verticalement :
1. Le misérable y finira.
2. Le misérable aimerait pouvoir y acheter le II.
3. Le misérable sera condamné même sans lui.
4. Le misérable le deviendra.
5. Le misérable sera mis sous elles.
→
Mon premier est puissant.
Mon second est misérable.
Mon troisième est un jugement de cour.
Mon tout était blanc et noir. →
Fontaine 20 ou mademoiselle marronnier.
Source 40 ou signorina tilleul.
Citerne 60 ou señorita frêne.
Pompe 80 ou Fräulein platane.
??? →
Selon que vous aurez trois sous
ou
un gros magot accumulé,
les
jugements de cour, je l'avoue,
vous
rendront noir ou, en vous comblant,
blanc. →
Selon qu'on considère des rupins pingres ou des dépravés, veillez à accorder des recours ou rendez des arrêts répressifs. →
Si tu es situé au haut, là, la cour court hâtée à tes pieds. Pis est si t'es cité mais t'es métèque : on condamne et damne, hélas, l'assassin à Saint-Maur, mort. →
Puissant, le souhait des cours honnêtes appelle aux égards.
Puis, sans-le-sou et découronné, tapez-le, osez ! Gare ! →
Sire Émile, ami doré, Rémi l'assimile à l'adoré. Domi, l'ado lascif à domicile à la hutte, Rémi l'a mis facile à l'arrêt. →
Méfiez-vous : tout manant jugé sera unanimement noir. Même vachard, tel magistrat jugera sympathique un nanti. →
Le pui100 10pose de re7 pour que l'éche20 con100te à lui oc3yer un réπ ; le galvau2 1,10tinct 1,6te en 20 et se 100 hu1000ié. →
Au PrOCeS ON SAuRa BLaNCHIr UN NaNTi, ON Ne CONdAmNeRa PAs. ON SAuRa AuSSi NOIrCIr UN PAuVRe HeRe. →
Si nous soupçonnons un bon coco cossu, snob, nous kiffons son chic, suivons son opinion, poussons nos bons soins. Sinon, si nous coinçons un biffin, un cowboy poussif, un bouffon nocif, nous y fichons un choc, punissons un bon coup, choisissons un poison. →
Si l'alcade me sait éminent, il me dira parfaitement net, mais s'il me traite en traine-misère, il me déclarera criminel. →
Si je suis princier, M. l'alcade décide de ne pas m'accuser et c'est marre. Mais si je suis bas, il sera sans merci. →
D K AC LV ÉT MML ABC DCD O JB MM ÉTT →
S'il a du fric, le tribunal le dira pur. S'il n'a nul capital, il sera puni. →
Si l'on est un rustaud sommé devant la cour,
on est plus mal loti que prince ou gros banquier. →
En obéissant aux anciens us un expert en audits accorderait aux hommes éminents un avis assez indulgent en infligeant aux individus indigents un arrêt extrêmement intransigeant. →
Selon que vous serez un maitre joailler ou un vanupied, interpelé par les prudhommes vous serez absout avec bonhommie ou on vous décrètera traitre sans sursoir. →
La cour jugea un homme qui était fort puissant. Arrêt prononcé : relaxez-le en le déclarant innocent. Mais si le prochain accusé est un misérable il ne faudra pas qu'il en espère autant, il serait étonnant qu'il parvînt à bénéficier de la même clémence. →
Le juge dit un misérable doit être condamné comme un puissant est toujours acquitté c'est ainsi qu'on rend la justice inique sûrement pas un modèle de probité →
Qu'arrive-t-il (en général) aux accusés puissants ? La cour les rend blancs ! Mais pour les pauvres et/ou misérables — bien plus nombreux —, elle décrète : « vu les articles [...] du Code Pénal ; etc. L'accusé est déclaré noir ». →
Est-il tout-puissant ? Juge-arbitre, accordez-lui sur-le-champ non-lieu, laissez-passer, sauf-conduit. Serait-il traîne-misère, sans-le-sou ? Déclarez-le hors-la-loi, dressez-lui procès-verbal. →
Lorsqu'ici quelqu'un d'aristocrate s'avance, l'accusation s'annule d'elle-même. Qu'on n'inculpe aujourd'hui qu'un monte-en-l'air, l'acharnement jusqu'au-boutiste s'impose d'emblée. →
L'inculpé éminemment distingué était systématiquement relaxé, l'accusé misérable étant néanmoins sévèrement condamné. →
À scélérat élevé, délibéré généreux ; à débauché désargenté, sévérité avérée : généralement incarcéré à perpétuité. →
« Ô ! Mâle suprême ! » bêle l'enquêteur, fâché d'apparaître revêche. L'honnête maître paraît sûr d'être relâché, enjôlé, fêté même. Comparaît l'infâme soûlard émêché. « Traître ! » tempête l'âpre geôlier. Aussitôt arrêté, blâmé, l'hâve traîne-misère gît bientôt blême, étêté. →
Selon que vous êtes un maître ex-æquo avec le führer ou un misérable garçon haï, la cour où vous comparaissez trouve votre œuvre plutôt à son goût ou procède avec une hâte ambiguë. →
Tant qu'on est d'un grand poids, voire au pouvoir, les cours nous font toujours blanc. Mais dès qu'on est pauvre, on nous rend fréquemment noir. →
Pendant qu'on rend blanc un grand mondain plein d'embonpoint, en un instant un clampin sans un rond, tremblant, prend vingt ans en camp. →
Selon que vous aurez un haut rang ou moins que rien, les verdicts des cours vous feront blanc ou noir. →
Summums millésimés concerteront ? Enterrent guéguerre, tentent entente intimement resserrée. Loulou cracra erre, enquiquiné ? Apparaîtrait zinzin ! Sellettes serrées tenaillaient gogo assailli, anéantissaient même. →
Cette commission ordonne constamment : blanchissez telle personne puissante, elle apparaît innocente ; arrêtez cette canaille affamée, formellement reconnue comme malhonnête. →
Cet abbé cossu, cet élu aux cent bijoux en or ? Qu'il ait ce mot ému ou deux, et hop, il est dehors. Ou alors, c'est ce filou, ce hippy, ce der des ders ? Dix ans au clou... ou au billot ! →
Si un yuppie vole une somme, on songe : on l'a spolié. Si un mec à sec vole une pomme, on le tond, on le ronge à vif. →
L'édile loyal arbitrera tout différend sans réfléchir : l'agha triomphant, impuni, aura ses sentences suspendues ; l'esclave soumis, roturier exploité, apparaîtra terriblement fautif. →
L'Aga a été ici rêver ses sagas, retâter nanan ; Ève aviva ses sèves. Bob y a erré ; elle alla sus, axa ses serres, elle l'a tôt étêté. →
Si tu as du bien ou si tu es gueux, la cour qui dit la loi te rend blanc ou noir. →
Certains étaient puissants, certains étaient pouilleux. Chacun étant jugé, ceux-ci sortaient toujours blanchis, ceux-là toujours coupables. →
Richissime respecté recevra jugement favorable, cependant misérable finira sûrement condamné. →
Individu considérable ? Acquittement inévitable. Particulier désargenté ? Condamnation inexorable. →
Les puissants accusés dominateurs sortiront jugés blancs. Les suspects franchement désargentés finiront toujours noirs. →
Qui est tout puissant sera toujours blanc en cour
mais qui est faible, chaque verdict le rend noir. →
En devinant en vous
un patricien
ou un marmiteux, le
tribunal supposé demeurer
impartial vous
classera
comme innocent
ou vous
jugera tout
noir. →
Si tu as un tas de blé ou pas un sou, la loi ne dit que du bon ou que du mal sur toi et sur ton cas. →
Soit vous êtes fort, donc tout juge vous dira amen, soit vous êtes gêné, pour lors leur cour vous fera tout noir. →
Selon votre place parmi notre monde, notre édile saura juger votre faute : aucun noble déchu, alors maint gueux devra payer. →
Procès plaidé devant Maître Millau, bailli, lequel oppose Ronald Makdau, fameux patron friqué (partie civile) contre Joseph Bauvet, paysan fauché (accusé). Succès assuré : Makdau exaucé, Bauvet paiera dûment (prison, amende, dépens). →
À un bon type riche, aucune pénible sentence.
À un zig sans thune, peines lourdes assurées. →
Soit que vous soyez haut placé, soit que la vie vous serve plus mal, de par la loi vous serez tantôt honnête, tantôt indigne. →
Qui a tout a aussi jugements de faveur, alors que celui arrivant misérable recevra arbitrage peu ou pas agréable. →
Exigez un jugement sur d'éminents chefs, ils réussiront bientôt à sembler innocents, comme toujours. Testez pour quelque pauvre misérable, un arrêt de sévérité inouie tombera illico. →
Supposez que deux amis soient jugés pour la même affaire, l'un, riche et haut placé, l'autre, pauvre et sans appui. Même si le premier, mû par une sincère amitié, fait son possible pour aider son ami, il y a fort à parier que la cour jugera celui-ci bien plus sévèrement que celui-là. →
Scellons queue volupteuse, observez pourrissant cocu moisimérentable blessé conjugalement. Dignes coeurs dévoués repeindront ambulance pour notaire. →
Selon que vous serez puant ou sale, les gens d'Ur vous ont lac ou or. →
Sous sein, ô Mère, je n'eus ennui. →
Silo nés triche le sar rets peu vent et réa gréa blés mai sil son tune au tréma ni érésipèle les us pec test. →
Le son que vous pressez, sa nuit rase m'oublie. Nu, je dégèle. Scrotums nus vont dorer un bon corail. →
Selon que vous serez puissant ou misérable,
vous saurez que l'élu ose très bien, pas moins. →
Soluble, l'amour ? Sûr ! Je pense que ce serait un bon truc si on dévergondait l'evzone sous nos murs. →
Selon que l'on vous chérisse pour votre richesse ou que l'on vous remise dans la misère, le tribun fera son turbin en prenant garde à votre grade : l'altesse, pour ses saletés, n'aura qu'une épine mais une peine sévère sera versée au trimeur meurtri. →
Résolu, dévoué, je suis grand, fort, utile à celle que je sers, mordu pour le sport... macho, quoi ! →
Seule, unique Ève saisie... Ouïr Zoé épuisée, seyante mais rebelle, sa joie gamine et sa douceur avouée, sereine. Dure nuit oubliée, incinérée. →
À ce milord pur-sang, ce mignon sultan, ces chics cours-là prescriront un bath verdict : tout blanc ! Et sinon ? Un an de prison, sûr. →
D'après le rang, l'arrêt sera civil ou fort dur. →
Selon qu'on est seigneur, âne,
quand on paraît dans l'arène
le jugement entérine
notre maintien sur le trône
ou nous inflige une prune. →
La cour est insulte, noir calice à un sort cruel, antisociale. Son truc ? « Là, tu es noir ! » →
Suivant que l'on sera haut placé ou minable,
un juge dit OK mais rend des mecs trop noirs. →
Vous voyez que le juge rend l'outlaw complexé et fait blanc le cheik. →
Voyez que khéroub fada juge impécunieux outlaws ! →
Le juge blond fayot a été porter du vieux whisky au vizir âgé qui fume, mais le minable clochard sans poste n'ose rien attendre. →
Aux barons cossus doivent être faits grands honneurs. Inique juge kafkaïen, le misérable n'obtiendra pas que réduisent ses tourments ! →
Melon bue sous xerez ouissant du pisérable, tes rugements ce jour nous vendront flanc au loir. →
psi con test fun triche factionnaire pou hun gémir adoré ola aloi gnous omet atout zen chaut
îles chères ébranleurs net gargotiers ode fla ozone pelle fleur prend ides jarrets prudes →
Accusé aisé, aristocratique ? Alcade accordera assurément acquittement amical. Accusé appauvri, affamé ? Alors alcade accablera, assimilera à assassin. →
Brigadier biaisé braille bêtement : blanchissons bons bourgeois, blâmons bougres besogneux ! →
Cette cour considère comme charmant chaque citoyen cossu, condamnant cependant comme criminels ces chétifs clochards. →
Des débauches de deniers déterminent des disculpations définitives, des dettes déclenchent de dures détentions. →
En examen, être éminent évite ennuis et embêtements. Être endetté et économiquement exsangue entraîne exclusion et enfermement. →
Fêtard fastueux, fortune florissante ? Forcément franc ; formalités fortement favorables. Faible faquin fauché ? Fatalement fautif ; fouetté, flétri, fustigé, finalement fichu. →
Guide gouvernant gourous, greffiers, gendarmes : grâciez généreusement galants gentilshommes, glorieux généraux ; gredins, gueux gagneront geôles, galéres, guillotine. →
Hadrien, hâbleur habile, harangue Henri, haut hiérarque : habitué, Hadrien honore Henri. Hadrien harponne Habib, humble histrion, hippy honteux : haineux, Hadrien hurle haro, harcèle, humilie Habib. →
Inculpé important, influent, ira immanquablement impuni. Individu indigent ? Inique inquisiteur infligera illico incarcération indéfinie. →
Je juge joaillier, jet-setter ? Je justifie joyeusement, je joins jackpot. Je juge jean-foutre, jeune jobard ? Jugement jamais jouissif, je jette joliment ! →
Selon que les keufs ont tacklé un apparatchik qui stocke les banknotes ou un pékin sans un kopeck, le kadi dira OK ou le rackettera. →
La loi léonine légitime les lords, le litige lèse lourdement les larrons. →
Monseigneur mérite manifestement ma mansuétude.
— Mais maints misérables mourront malheureux, maudit magistrat ! →
Nababs nantis, nous nions naturellement notre nocivité. Nécessiteux, nous ne négocions nullement notre noirceur. →
Official omnipotent ordonne officiellement : officier ostensiblement opulent ouira obligeance obséquieuse, outlaw obscur obtiendra odieuse oppression. →
Par procédure particulière, plusieurs puissants personnages peuvent parfaitement passer pour purs. Pas possible pour pauvre petit plouc promptement proclamé pécheur pendable. →
Quand quatre questeurs questionnent quelque quidam qualifié, quelque quartier-maître, quelle quiétude ! Quitus, quick ! Quid quand quelqu'un questionne quelque quidam quelconque, quémandeur, querelleur ? Quelquefois quelques quolibets, quelquefois quarantaine quinquennale. →
Résolution réglementaire rigoureusement respectée : riches rentiers repartent relaxés, roturiers ruinés restent rudement réprimés. →
Suspect, son sort sera scellé selon son statut social : sans suite si situation supérieure, sentence sévère si subalterne. →
Tête titrée, ton tribunal te traitera toujours très tendrement. Triste trimardeur, tu te trouveras tantôt terni, tantôt taulard. →
Usager ultrachic, universitaire urf ? Un uléma usuel utilisera une urbanité ultime. Usineur ulcéreux, usurpateur underground ? Un uléma ulcéré utilisera urgemment un ukase urticant. →
Vous vous voyez vigoureux, viril ? Vous vivrez vénéré. Vous vivotez, va-nu-pieds vulnérable ? Vous voilà vilipendé. →
Selon que vous serez un de ces happy-few pleins de cash-flow ou un clown frôlant le breakdown, après l'interview le steward vous donnera un ausweis pour le week-end ou vous enverra avec son browning au walhalla des outlaws. →
Deux tribunaux, examinant six généraux véreux auxquels s'annexent dix gueux miséreux, exécuteront ceux-ci, relaxeront ceux-là. →
Oyez, loyal jury ! Voyant dandy royal, soyez sympathique, fayotez hypocritement. Voyant pitoyable voyou, balayez, nettoyez, lynchez ! →
Vizir balèze, allez bronzer : l'alguazil bazarde douze laissez-passer. Zonard assez naze, allez zyeuter Alcatraz, soyez-y zigouillé. →
La Loya Jirga interpella l'agha, interrogea sa fatma : ça s'arrêta là, l'intelligentsia resta persona grata. L'ouléma jugea la nana raplapla : sa fatwa l'identifia à la mafia, la condamna. →
Lorsque se présente une personne puissante, le délibéré se termine de manière clémente. Que comparaisse quelque misérable, le même juge se targue de faire preuve de grande sévérité. →
Selon un canon commun, un gentleman marron, bon, amen ; un vaurien bon-en-rien, non, aucun pardon. →
Juger fier chevalier, seigneur altier ? Interpréter : par faveur, laver leur honneur. Pour lascar inférieur, trimardeur obscur ? Leur donner peur, leur infliger dur labeur. →
Nous autres juges suivons toujours les traditions des cours : nous rendons blancs tous les puissants, mais noirs les misérables. →
Maint puissant comparaissant devant cet éminent magistrat fut absout, arrêt évidemment fort clément. Cependant, tout suspect indigent était systématiquement éconduit. →
Selon qu'on te saura éminent ou misérable, on t'affublera soit de blanc soit de noir. →
Selon que vous serez puissant ou miséreux, le jugement des cours viendra vous innocenter ou au contraire vous condamner. →
Selon votre position, cossu ou pouilleux, les jugements des conseils vous sont secourables ou odieux. →
Selon les valeurs considérées des gredins présumés, certaines cours jugeront irréprochables les opulents, blâmables les misérables. →
Toute opulente personne passera populairement pour incorruptible ; toutes mortelles désargentées, pourtant, seront tenues opportunément pour repoussantes. →
Suivant puissance, condamnations différentes : bienveillantes devant gouvernants, vipérines envers contrevenants pauvres. →
Suspect spéculateur recueillera, judiciairement, jugement soigneusement indulgent. Indument déshumanisé, démuni diminuera odieusement. →
Tout tribunal lambda ayant, très sûr, rendu un nabab blanc, colorera aussitôt tel loufiat trop pauvre en noir. →
Suivant qu'on a du pouvoir ou qu'on vit sans un sou, la cour où l'on comparaît nous fait soit blanc soit noir. →
Quand le prévenu a beaucoup de pouvoir, le jugement de la cour le blanchit ; quand il n'en a guère, il le noircit. →
Ahmad Hadj Akhbar, magnat afghan, a la baraka : la fatwa l'accabla pas. Nanard, l'hagard manant, l'a pas : ça s'acharna dans la casbah l'attachant, bagnard, à Alcatraz. →
Hervé de Lestelle, célèbre Vendéen enflé de pèze, se rend vers le greffe : le clerc l'encense et le révère. Bébert, déchet grevé de dettes, se présente de même : l'expert décrète des sentences sévères envers ses péchés. →
Sir Bill Griffith, zig chic d'Iniskin, prit-il fric infini ? Fictif, dit l'incivil vizir. Riri, biffin, prit-il cinq shillings ? Flic strict, incisif, inscrit : « sidi primitif d'instinct vil » (sic). →
Otto von Köln, gros consort goth, corrompt nos bons lords : « Honorons nos boss, dorlotons nos sponsors » pondront nos poltrons. Totor, clodo, sort son colt ? « Confondons l'ostrogoth, coffrons nos prolos ! » →
Utzül, Duc du Burdur, un summum turc pur jus, fut vu du guru : nul putsch, du pur fun. Juju, un gus du vulgum, un punk nul, fut vu : sûr, guru fut plus dur. →
L'arrêt atterrant rendra le gradé blanc, l'épave sale. →
L'ami à l'imam, il l'a mis blanc ; l'inactif paria, il l'a dit sali. →
Autant un grand-duc a un statut assurant un salut, autant un taulard brut aura un fatum abrupt. →
Les pros des procès combleront les snobs et nommeront les clowns félons. →
Dès que fut reçu le Duc, le juge fut mesuré. Sur le gus déchu, ce juge cruel fut en fureur. →
S'il est riche, l'inventif édile l'indemnise ; s'il est simple, il mérite discrédit et gibet. →
Injonction : si l'on dit trop mignon l'impoli Kronprinz, on dit noir l'honni polisson. →
Proclamons sans tort l'arrogant boss amoral ! Condamnons à mort l'assommant clochard tocard ! →
Nous, cour, voulons un bonus pour tout lord, un coup fort dur pour tout loulou. →
Un tribun prit du fric, puis fut impuni. Un intrus minus, il subit un strict fusil. →
Selon qu'ils pourvoyaient un neuropsychiâtre ultraroyaliste ou un boyaudier mauroyiste, les byzantinologues sursoyaient ou le rudoyaient. →
Employeur ennobli rencontre nos prétoires. Son avoué entonne plaidoiries grandiloquentes. Réponse : intentionnalité approuvée, amour fou.
Trois médiocres défavorisés larmoient, implorent bon droit. Glose parcimonieuse, ton dissonant. Nos archontes snobs iront raisonner péremptoirement : purotin encourt geôle. →
Soit que vous soyez seigneurial ou pouilleux, ceux qui siégeaient aux cours vous faisaient saint ou meurtrier. →
Être prince ou clochard est important ? Incontestable, croient onze experts, tranchant entre inculpé irréprochable ou ignoble truand. →
On exécutera le purotin avec une sévérité totale ; la notabilité, tu la jugeras avec aménité. →
Cheik, seigneur, roi preux, maître altier, si on nous questionnait pour quelque plainte on pourrait tout nier puisqu'on sait bien qu'on va être acquitté. Et vous, pauvre être affaibli, on vous poursuivrait pour vous fourguer huit jours au trou. →
Soit vous êtes un haut dignitaire et la cour vous dira toujours immaculé, soit vous êtes pauvre et elle vous fera noir. →
Selon que vous pesez
fortement ou très peu,
Maints jugements de cour
disaient ou non : hors-jeu ! →
Si vous étiez rentier
plutôt que misérable,
les jugements de cour
ne vous rendraient plus noir. →
À un élu aisé iront bons avis, contre modeste homme pauvre tomberont infâmants verdicts. →
Le calife chic, l'aimable chef ? L'alcade, amical, le clame lilial. Le mec malfamé, l'affligé de la biffe ? Ce même bailli habile l'amalgame à la mafia, le blâme, le décide illégal. →
Nous vous voyons pourvu ? Nous vous supportons, nous troquons vos sous pour un propos opportun. Nous vous trouvons voyou, tout nu ? Nous supposons vos torts, nous vous rossons. →
Accusé aisé, cossu même ? Siège acquis à sa cause, message soumis à sa guise. Co-accusé à sec, usé, émacié ? Saisie, saccage, quasi-séisme. →
Ce greffe dresse des actes avec effet de dégager de tracas des cadres gras et gavés et ce garde baffe avec des verges des braves gars grevés de dettes →
Un moujik à joli look, un lion ? Impuni ! Un junky honni, un loulou non muni ? Puni, lui, à mon opinion. →
ô roi ô tzar ô type autoritaire ta troupe patriote taira tout tort et arrêtera ta torture pour toi petit paria roturier ta partie apparaît pourrie a priori tire toi au trou pour perpette →
Aga acta caca ? Gugga tut ça, gâta aga. Tata tagga, ça agaça Gugga ? Tac, Gugga tua tata ! →
« HOMME BIEN BATI, EMINENT, OMNIPOTENT MEME. TON OPINION, O POTENTAT ?
— TYPE HONNETE ET BON, ON NE T'EMBETE POINT, ON OMET TA PEINE.
— PETIT BONHOMME, PAYE MINIME. TEMOIN EN ATTENTAT. TON OPINION ?
— EXPIATION ! ON TE BANNIT, ON TE BATONNE, ON T'ABAT ! » →
COMTE, CETTE POCHETTE CACHE TA POMPE A PEPETTE ? PAYE CET EXEMPT ET ECHAPPE A CE CACHOT !
CABOT BOHEME, COCOTTE MOCHE, CE COYOTE, CE KAPO, TE CHOPE ET T'ABAT : HECATOMBE, ECHEC ET MAT ! →
UN VIL GUGUS, UN MINUS INCIVIL ? SUS ! CUIS-LUI ICI !
UN ZIG MUNI, UN SUMMUM ? IMMUN, LUI. →
Quand on est un grand personnage, une cour nous absout toujours ; par contre un bougre désargenté est forcément jugé dans son tort. →
Selon quel ordre se rend la loi du prévôt ? Au procès du grand mec gros et gras avec du bien, quand l'enquête le lave ça l'exonère. Le maigre hère falot et blême, le faible zouave mou, prendra le fouet, ou en place sera même roué. →
un meneur va en cour avec assurance car on exauce sans cesse ses vœux. nous — ses vassaux — nous encourons son courroux car on nous accuse sans mesure. →
Le type huppé, le juge le fait quitte de tout délit ; le faible, le pitoyable, il le dit fautif et l'afflige ! →
Affilié à la Jet, l'adjoint de la loi t'enjôle et fait ta joie. Jojo naïf et endetté, il te lie et t'enjoint le donjon. →
Les arrêts font obligatoirement noir tout affamé, innocents nos éminents. →
Selon les classes régnantes, une juridiction commune capable saura taxer crûment minable crève-la-faim, simultanément aider les puissants. →
Clochard, chaque vol sera beaucoup châtié ; Crésus serait épargné. →
Puissant, un juge vous rendra souvent blanc et vous, miséreux, noir. →
Selon que je serai descendant d'une vénérable famille de haut lignage
ou un vagabond, un laquais, un champi, un barjot, un biffin,
la chambre qui me juge devra finalement opter
pour des hommages, une faveur qui me comblera de joie,
ou m'avilir sans justification, plus honni qu'un bagnard. →
Rupin ni fin ni pur,
ta relaxe viola la loi, vexa le rat. →
Trot nos rein tiares regel port terra nu ! Éluat ne ! Ressac ! Rivés ? Essor lamina nu, écalas tar nu te. Retapé sel te résuma sel éroda nô, (rats repus, bons rimé) sac snob sel. →
sed puad snou au uo puenb 'sapuawe,p awwosse snou uo : suahow ap suonbuew snou 'snoN —
nos un sed apuewap snou au uo : anbueq ua awwos auuoq aun e uo 'apuow np sawwoH — →
Selon que vous avez un haut rang ou des fonctions humbles, un tribunal vous rendra soit blanc soit noir. →
Suivant que la cour examine Lord Macbeth ou l'infortuné Macdonwald, son avis change : il va du très indulgent au moins humain. →

Selon que
vous êtes
faible ou
important
les juges
des cours
vous font
soit tout
noir soit
innocent. →

Selon que vous serez considéré comme un puissant ou comme un misérable, les jugements rendus par les cours vous feront soit blanc soit noir. →
La cour
nous dit :
« bandit
encourt

toujours
— maudit
édit ! —
cent jours ».

Les maîtres,
ces traîtres,
effet

troublant,
sont faits
tous blancs. →

Une élite
a recours
à la cour
On hésite
Il hérite
en retour
de mamour
explicite

Néanmoins
un témoin
misérable
va plutôt
pitoyable
au poteau →

À
toi
puissant
la cour ne dira
que du bien et cependant
contre toi misérable elle décrètera
des arrêts toujours sévères et jamais indulgents →

Puissant, misérable.
Deux jugements sont rendus
L'un blanc, l'autre noir. →
Quand tu as plaidé,
on te fait blanc si tu flattes,
noir si tu déplais. →
Tête, ester te sert.
T'es serré ? Reste terré :
tester est stresser. →
L'aristo et l'affamée
Reçoivent leur jugement :
La première est acclamée,
L'autre en sort sans ménagement. →
Selon que vous
Êtes fort ou
Misérable
Les jugements
Vous rendent blanc
Ou coupable. →
Jamais de grabuge
Pour vous, les puissants :
La cour qui vous juge
Vous rend toujours blancs.

Mais vous, misérable,
N'ayez nul espoir :
Vous serez coupable,
On vous rendra noir. →
Si vous êtes fort ou couard,
La cour vous rend blanc ou noir. →
Selon qu'on est faible ou puissant,
On est coupable ou innocent. →
Selon qu'on est puissant ou misérable,
Les jugements nous font blanc ou coupable. →
Selon que vous serez un puissant bien en cour
Quand les rois vous rendront justice, ou au contraire
Ruiné, saigné à blanc, plongé dans la misère
Et dans un noir pétrin implorant du secours,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. →
Il y avait un puissant seigneur nommé Hassan
Qui mettait le pays autant à feu qu'à sang
Mais la cour jugea préférable
De condamner un misérable
Encensant en passant l'accent cassant d'Hassan →
Qui juge chacun à son tour ?
C'est la cour !
Et que dit-elle du puissant ?
Qu'il est blanc !
Et le misérable, à l'en croire ?
Il est noir !

Selon que vous viendrez la voir
Avec hauteur ou humblement,
En prononçant son jugement
La cour vous rendra blanc ou noir. →
cour
qui juge
blanc ou noir
la hiérarchie est immuable
iniquité →
Selon que vous serez fort,
Riche, puissant, dominant,
Ou pauvre, faible, misérable,
Les jugements
Vous rendront sans hésiter blanc
Ou vous déclareront noir. →
C'est aujourd'hui que la cour juge
Quel accusé sera fait blanc
Et quel autre sortira noir.

Ce puissant, le rendra-t-on noir ?
Certes non, déclare le juge :
Il ne saurait être que blanc.

Et ce misérable, est-il blanc ?
Le tribunal le dira noir
En suivant l'opinion du juge. →
Lonseu que vous serez sanpui ou rableumi, les menjuge de reuk vous rendront amble ou reunoi. →
Savelavon quaveu vavous saveravez pavuissavant avou mavisavéravable, lavés javugeavemavents daveu cavour vavous ravendravont blavanc avou navoir. →
Lelonsem que vous leressé luissanpem ou lisérablemeu, les lugemenjés de lourkem vous lendronrem lanbeu ou loirné. →
Solan qeo vaes soroz peussint ae musóriblo, los jegomonts do caer vaes rondrant blinc ae naur. →
Sc1on gue uOuSsefez pwsSart eu m1sëra61ę 1e5 juqen.ents Φ ∞ur vws ¬end'0nc 61anc eu noin →

char *cour(int vous) {
    char *jugement;
    switch(vous) {
        case PUISSANT :
            jugement = "blanc";
            break;
        case MISERABLE :
            jugement = "noir";
    }
    return(jugement);
} →

(defun cour (vous)
  (cadr (assoc vous '((puissant blanc) (miserable noir))))) →

jugement(X, Y, blanc) :- cour(X), puissant(Y).
jugement(X, Y, noir) :- cour(X), misérable(Y). →

class Cour {
    var $jugement ;
    function Cour($vous) {
        switch ($vous) {
          case "puissant" :
            $this->jugement = "blanc" ;
            break ;
          case "misérable" :
            $this->jugement = "noir" ;
            break ;
        }
    }
    function juge() {
        return $this->jugement ;
    }
} →

Vous êtes puissant, vous êtes misérable. →
Je nachdem ob Sie mächtig oder elend sein werden, werden die Hofurteile Ihnen weiß oder schwarz machen. →
Selon que vous serez puissant ou malheureux, les jugements de cour vous rendront noirs blancs ou. →
According to whether you are powerful or miserable, the judgements of court will return to you white or black. →
Selon que vous êtes puissant ou malheureux, les jugements de la cour vous renverront le blanc ou le noir. →
Según que será potentes o miserables, los juicios de tribunal le volverán blancos o negros. →
Comme qu'il sera puissants ou misérables, les jugements de tribunal lui retourneront blancs ou noirs. →
Sémantique quelque vouvoiement sergent pullulement ouaouaron misogyne, lésine juillettiste déambulatoire courbaril vouvoiement renfermement blancheur ouaouaron noircissure. →
Selon que vous serez pulsatif ou misogyne, les juifs de courante vous rendront blasé ou nomade. →
Selon que vous serez pull-over ou miséreuse, les jujubiers de coût vous rendront blaps ou noix. →
Selon que vous serez moussant ou insérable, les véhéments de four vous rendront flanc ou soir. →
Dans la mesure où vous aurez un grand pouvoir de fait ou vous serez au bas de l'échelle sociale, les sentences rendues par une autorité (temporelle ou spirituelle) d'un tribunal d'un ordre supérieur seront pour vous cause qu'une personne ou qu'une chose devient d'une couleur combinant toutes les fréquences du spectre, et produisant une impression visuelle de clarté neutre, dont la nature offre de nombreux exemples, ou de l'aspect d'un corps qui produit une impression particulière sur la vue du fait que sa surface ne réfléchit aucune radiation visible. →
Selon que vous vous sentirez baraqué ou mince, les rumeurs de rue sans issue vous vomiront vin ou café. →
Le Monde selon Garp (John Irving, 1978)
Quand vous serez bien vieille (Pierre de Ronsard, 1578)
Les Puissants (Vic James, 2017)
Les Misérables (Victor Hugo, 1862)
Jugements derniers (Joseph Kessel, 1995)
Souvenirs de la cour d'assises (André Gide, 1914)
Pour rendre la vie plus légère (Mona Ozouf & Alain Finkielkraut, 2020)
Le Blanc et le Noir (Voltaire, 1764) →
Selon que vous serez un homme d'affaires ayant fait un début dans la vie à la Bourse ou l'enfant maudit aux illusions perdues pris dans une ténébreuse affaire, les petits bourgeois vous garantiront la paix du ménage ou vous infligeront la vendetta, véritable pathologie de la vie sociale. →
Un jour, un seigneur de province m'avait vendu sa femme sous la forme de macchabée. Cet acte lui valut le grand cordon car le juge, au moment suprême, lui dit : « Je m'en vais mettre fin à votre pénible supplice ; sache que j'apprécie à sa valeur le geste. » Moi qui ne suis pas capitaine, au petit jour on m'a réveillé : lorsque les gendarmes m'ont pris pour m'envoyer à la Santé, m'auraient collé au mur avec ou sans bandeau. →
Un jour, vers midi, sur la plate-forme arrière d'un autobus de la ligne S, je vis un pauvre jeune homme au cou difforme, affublé d'un chapeau minable entouré d'une simple ficelle en guise de galon. Il accusa son voisin, un honorable représentant de la haute bourgeoisie, de lui marcher volontairement sur les pieds. Les autres voyageurs, assemblés en une sorte de cour improvisée pour juger ce différend, innocentèrent sans hésiter le puissant personnage, assurés que le fautif ne pouvait être que le jeune misérable. →
Ô rage ! ô misérable ! ô puissant ennemi !
N'ai-je jugé en cour qu'en rendant blanc ou noir ? →
Selon que vous serez, comme un vol de gerfauts,
Fatigués de porter puissant ou misérable,
Les jugements de cour de Palos de Moguer
Vous rendront blanc ou noir, héroïque et brutal. →
Selon que vous serez le veuf, l'inconsolé,
Puissant ou misérable à la tour abolie,
Les jugements de cour et mon luth constellé
Vous rendront blanc ou noir de la mélancolie. →

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Nicolas Graner, mai 2001 & juillet 2011, Licence Art Libre