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Je suis le ténébreux, le veuf seul en ce bourg,
Les soupirs de la sainte et les cris du gentil.
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L'enténébré, — l'inconsolé je suis,
Qui souffle et d'impétueux cris du mage.
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Je suis le tensoriel, le vieux, l'inconsommé
Les sourcils de la salle et les crics de la fouée.
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Ma seule étoile est morte à mon cœur désolé
mon front est rouge encor sur la lyre d'Orphée.
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Être lugubre, — seul, — épars, — inconsolé,
Tempo tant exprimant théologienne et fée.
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Je suis véner de ouf et ça me casse les c...
Comment ça s’fait trop pas ! Je hais les Oulipotes.
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Le décès m'enténèbre entre échecs et revers ;
Les thèmes de fervents et de fée effrénée.
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Je suis l'invertébré, le ver dans le mûrier,
Les murmures sans fin de la soierie griffée.
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Gesses ! huile ! et thé ! je vends ; et bœuf, et cassoulet,
À cinq sous, hors l'enceinte : le décri fait effet.
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Alaingénieur chimiste aimant bien rigoler,
Alaincantation sainte, Alainpur cri de fée,
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Je demeure le veuf ténébreux, accablé,
La plainte de la vierge et le cri de la fée.
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Je suis le ténébreux, — le veuf déboussolé,
Les soupirs du très saint par les cris de la fée.
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Je suis déraciné, — j'ai perdu l'Algérie,
J'y resterai, pour le couscous que t'y me fais.
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Je drue le trémadie, le buf, l'irrémalé,
Les glapets de la vouze et les cracs de l'affée.
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Je suis un sonnet Pi, tout neuf, oulipolé.
n'y voyez rien de personnel.
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Je suis ténébreux, veuf, inconsolé,
Des soupirs de sainte et des cris de fée.
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Je prends la lourde, ouilla ! j'ai perdu ma moitié
La triste quinarelle et les cris de la fée.
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Isolé avili Aède désolé
Évoé amuï ô déité ô fée
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Je ne suis qu'un ténébreux, veuf, inconsolé,
Ou les soupirs de la sainte, ou les cris de fée.
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Tu loer pe lócánpies, — lo seec, — p'ulsicrocé,
Pat coutesr pu nu nuipla es nat rpel le te cúu.
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Sombrons profond — boloss : solo, ronchon, KO.
Kobold, offrons ton son ; golgoth, ton gros ronron.
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Esprit toujours noirci, — veuvage, — heureux ? jamais.
Tantôt sainte pleurant, tantôt nymphe criante.
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Je suis l'âme en break-down, — le veuf, — l'inconsolé,
De gwokas de la sainte et de cris de la fée.
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Ah ! J'ai récupéré enfin mon héritage !
Orphée me fait marrer. Dansons le cha-cha-cha !
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Je suis le nauséeux, SIG 9, inalloué
Les warnings du linker, les cris de gcc
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Je suis l'ordinateur, — tout neuf, — déjà planté,
Élémentaire feinte à ce prix pardonnée.
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Je suis le ténébreux, — l'amer, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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Je suis par estran creux l'Éteuf que l'on dégomme
dont l'armoise normande a refleuri ma paume !
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Je reste enténébré, régent de mes revers
Le thème et le secret des fées et des prêtresses.
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À supposer qu'on me demande,
L'Eurydice au ça de velours.
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Ce ne sont pas le veuf l'inconsolé,
Par les rayons et les cris de la fée.
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Je suis tellement sombre — et seul — désespéré.
D'un ange les sanglots, des Parques la huée.
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Ténébreux, chagrin, veuf, gelé,
Sanctifiés soupirs, voix fieffée.
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Adam file Sherlock, ayant perdu Irène,
Clochette hurlant « ta gueule ! » à la pauvre Didon.
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Je suis le sibyllin, — l'affaibli, — l'accablé,
Du sanglot d'Avvakoum au korrigan outré.
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Tsar fictif à l'air gris, — au duo désolé,
Cri d'oppositïon combinant sanctus tchèque.
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J'unis le ténébreux, le veuf, l'endolori,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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Le soleil ténébreux d'un crêpe inconsolé,
Qui ne crie : Ô soupirs, Belzébuth de la fée !
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Je suis le noir mineur, chômeur déboussolé,
Le chant du P'tit Quinquin et l'Internationale.
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Je suis la ténébreuse, une veuve isolée,
Les soupirs de la mouche et les cris du moustique !
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Je suis le noirci, chagrin, pleurant sans mes clefs,
À ce prix, boire devient pénible à la fée.
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la mie ou les cris de la fée.
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Je rage : pourrira l'époux inconsolé,
Primo l'esprit yodlé, deuzio de rigolade.
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Je suis le ténéschtroumpf, — le schtroumpf, — l'inschtroumpfolé,
Les schtroumpfirs de la schtroumpf et les schtroumpfs de la smurf.
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je reste enténébré, morose, abandonné,
ronronnements sacrés et chansons d'une fée.
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Je dis : ténèbres d'Ouille, étoile, mie, olé !
module en phonétique ire et Scythe encor Fée !
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Je suis le romantique, le sot, le tourmenté,
Le destin de mon temple et l'amour de m'amie.
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Je suis le mystérieux, le vain, l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et l'hymne de la fée.
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Je suis le Ténébreux, le Veuf, l'Inconsolé.
je ne puis qu'écluser mon spleen jusqu'à la lie.
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Je suis veuf, le Ténébreux inconsolé,
vos gémissements et vos cris, Sainte et Fée !
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Je suis le hooligan, le beauf, le déchaîné,
Dribbles et petits ponts, têtes dans la mêlée.
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la Schtroumpf et les sorts de la fée.
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Je suis le malchanceux, le jeune inconsolé
Les soupirs de Hyacinthe : « Ô veste dégrafée ! »
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Je vais à Richelieu, Pont-Neuf, Pré-Saint-Gervais.
Chatou-Croissy - Lieusaint : par Quai de la Rapée.
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Je suis dans le Soleil, — le neuf, — l'inconsumé
L'éclair de ma genèse, Ô âme rencontrée.
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De nuit en Walpurgis, ma voix d'incarcéré.
Fût inscrit en un marbre : « Il fut seul en sa vie ».
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Quand la fée a crié, la sainte à demi-voix
inconsolé, car veuf et ténébreux, qui suis-je ?
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — le quoi déjà ?
Mais quels sont ces soupirs si sifflant sous ces cris ?
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Aboli prince, l'Occitan gris se console
dans l'obit priez Thor, bissant Frigg d'écho sobre. »
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Aliéné nié Séide désolé
Évoé amuï éLyséen ô fée
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J'ai longtemps résidé sous un vaste veuvage
Les soupirs et les cris dont j'étais stimulé.
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Je suis le torero du bœuf banderillé,
Et les grandes oreilles d'un corregidor.
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Je suis l'éteint dimanche au vol non remboursé,
Et l'ami Saint-Glinglin qui fait courir les fées.
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Tu es halo, — extra, — tant déifié.
Tantôt d'élixirs, ta fée a hué.
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Mal ombré, — calciné, — perdant cet olifant,
Alawite flexion, zézayante bouzine.
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En deuil d'une égérie, lui l'aïeul aliéné,
L'ange de Dieu brailla élégie enragée.
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Je gémis ténébreux, veuf : dam d'inconsolé,
Des plaintes d'une sainte et des cris d'une fée.
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J'étais un esprit sombre, un veuf, indésiré,
Ou le soupir de sainte, ou les cris d'hétaïre.
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Je suis le campagnard, — le veuf, — l'admiratif,
Les soupirs de la sainte et la fée emphatique.
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Inconsolé
Maints cris de fée.
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Je suis Po`o-uli, le passereau râblé,
Je soupire de crainte au-dessus des vallées.
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Je suis Maître Corbeau. Sur un arbre perché,
Ah ! le noir du tombeau, ah ! quelle horrible poisse !
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Je suis un ténébreux, — pas veuf, — on m'a gaulé :
Les sous que je t'appointe, ô Chérie tarifée.
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Je suis le Dracaufeu, — l'Arbok, — l'Inconsolé,
Les soupirs de Tortank, les cris de Mélofée.
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Je pleure à Bordeaux, sombre, chagrin, veuf au monde,
Cris aux saints soupirs, ivres, lyres, c'est la fête !
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Je suis le sulfureux, — l'ose, — l'hypophosphite,
Les anneaux de Raschig en milieu isomorphe.
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Je suis le terne Hébreu, — un keuf déboussolé,
Qui expirent sans plainte aux cris des nouveaux-nés.
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Je suis tout noir et triste sans ma femme adorée.
Pour faire plaisir à mes deux meilleure amies.
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Messer veuf, ténébreux, mais je suis un nanti
Magicienne : veux-tu ? Ma jeune sainte : un non ?
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Battling le Ténébreux, crochet gauche doublé,
C'est l'effet stéréo, c'est la sainte et la fée.
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Je suis le Ténébreux — ou l'hypocondriaque,
Où la sainte et la fée célèbrent l'Oulipo.
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Tu es le lumineux, — le jeune époux comblé,
Le rire des putains et le chant des armées.
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Je suis un importé, dans ç'ginre non accoté,
Cacassements de fées, criant Sainte-à-Paupiette.
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/ʒə ˈsɥi lə teneˈbʀø lə ˈvœf lɛ̃kɔ̃soˈle
le suˈpiʀ də la ˈsɛ̃t e le ˈkʀi də la ˈfe/
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Je suis un hère ici, — femme bride abattue,
Ou pester la tourmente en devise conçue.
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Affligé, accablé, l'alliage affaibli,
Bée le babil de l'Hadj, bégaie hi-fi de fée.
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Jeg swø de tænæbrø, — dem vøf incånsålæ,
Les supirs op de sankte og de cris de la fæ.
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En ténébreux état, — veuvage inconsolé —
Les soupirs sanctifiés et les cris enchantés.
-
Je suis le tenu, le vibrant, l'incontrôlable
Les sourires de la saisie-exécution et les cricris de la félonie.
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Ombre polyphonique, orphelin pitoyable,
psalmodique oraison, païenne ode pouffée.
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Ténébreuse viduité inconsolée !
Soupirantes, féeriques exclamations.
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Je suis vraiment pas vieux, — trente-neuf ! — tout mouillé,
Un lot en demi-teinte : liste paraphée !
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Je suis le cloisonné, — l'issu d'inconsolé,
Issant pour pasticher saints chapitres de fée.
-
Le veuf, le ténébreux et le prince aujourd'hui
Qui mêle soupirs saints, cris de fée, chant du cygne.
-
Ô Muse prête-moi donc ton luth constellé !
Était signe augurant la destruction certaine.
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Je suis le Prestigieux, le vieux rafiau coulé.
Les sourires d'absinthe et les cris des préfets.
-
Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l'Inconsolé,
— Modulant quoi ? Je n'en ai plus la moindre idée.
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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Un je vis sans mon une, brigand tout flétri.
Va, module, priant : joue l'imam ou ses cris...
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Il ploie en pleurs, l'aïeul à l'oubliée ampleur,
Enflent l'alléluia, l'olé glial à laie.
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Soupirs de sainte et hurlements de fée.
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Je suis l'impublié, l'omis, l'inachevé,
Mes écrits sont soupirs, mon futur est délire.
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Fée ô ténébreux cri fût-il qu'inconsolé
Inconsolé qu'il fût cri ténébreux ô fée
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Je suis le vénéneux à ne point consommer,
Les soupirs des gourmets, leurs cris empoisonnés.
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Suis-je le ténébreux, le veuf, l'inconsolé ?
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée ?
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Ne bois ce marasquin, — du moût, — d'ensorcelé,
Son puisard si la source en sol plat ne se rue.
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Je suis le besogneux à la plume raillée,
Les soupirs du critique et ses cris : « c'est assez ».
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Soyons l'enténébré, — l'éploré, — l'esseulé,
D'exubérance d'elfe à rumeur étouffée.
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Fuyons les ténébreux, — les beaufs, — les enfoirés,
La Science et la Raison, avec humour, — c'est chic !
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Le venin, le veuvage, ô vie et temps de fox,
Une lyre d'Ophir inspire l'équinoxe.
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Je suis le cow-boy noir, le veuf, l'inconsolé,
Les soupirs de la poudre et les cris de la balle.
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Je pressentais le deux, le neuf, incontrôlé.
Près de lui rougissait une sainte extasiée.
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Je suis le dangereux, le keuf invétéré,
Les sourires de feinte et les cris qui effraient.
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Je parais en deuil noir et vivre inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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Je suis l'homme au sombre air, — ô veuf, — triste et sans paix,
Les doux chants de la sainte et les cris de la fée.
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J'ai perdu mon doudou, je reste inconsolé.
Depuis, j'implore en vain ma marraine la fée.
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Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l'Inconsolé,
Mots du lent souffle de Sainte et du cri de Fée.
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Je suis le laborieux, — le prof — peu inspiré,
À mes soupirs. Ma crainte est l'écrit réchauffé.
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Oh j'ai perdu l'alpha tout comme l'oméga
Les sigma de la sainte et les cris de la fée.
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Reluit : rebelle et pieux, feu le pinson d'orée.
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Je suis un Ténébreux, — le meilleur d'entre nous,
Comme sous Louis Quatorze un Fouquet qu'on accable.
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Suis-je le Ténébreux, le veuf, l’inconsolé ?
les soupirs d’une sainte et les cris d’une fée.
-
Je suis le liquoreux qui surfe vent gonflé
Soupire en Bruges morte un cri d'au-delà lai
-
Estous an Ténébro, — an Veu, — an méconsoul,
Suspiracion du gra hen hurlos den magré.
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Ton âme est un flacon, mais point du tout fêlé :
Mais je peste, je rage, et maudis cette fée !
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Je suis qui ? deux cents maux, ah ! sans mots, le deuil pris
L'amer ou long soupir : où, les cris de la fée ?
-
Sanson sait Sissi seule, assassinée assise,
Les soupirs de sa sainte et ses bises blessées.
-
Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l'Inconsolé,
Aigre Nantes... Hourrah, Tours ! Hallali... Re-dors, fée !
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Je suis le victorieux, — le neuf, — le contrôlé
On soupire de crainte : ici ça va chauffer.
-
Elle apparaît maussade, attristée, esseulée,
Bâillements merveilleux, féériques effrois.
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Je suis le gentleman, — le Sir, — le lord anglais,
De pie, de bière tiède et de toasts au cheddar.
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Je suis Le Tech (66) né Breux (55) — le Veuves (41), — Linthes (51) Comps (26) Saulieu (21),
Les Soupir (02) de la Saintes (17) et l'Ecrille (39) de la Féy (57)
-
C'est l'air du Ténébreux, du Veuf inconsolé
le gros lot à la Sainte et le prix à la Fée !
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C'est bien moi l'ombrageux, — le veuf, — le strangulé,
Maint soupir de la sainte et la clameur magique.
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Terne veuf rance et nieur, sans compagne ni paix,
Un zeste de limon ou d'orange malaise.
-
Veuvage ténébreux des hommes de Lesbos,
Les soupirs de Lénée et les cris d'Iacchus.
-
L'exquis mets vénéneux se meurt incorporel,
ne toupille sa main entre écrit et sagesse.
-
Moi, déchu, décavé, cacique du veuvage,
Bayez au vieux kiwi du juge hopi qui fume !
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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Nous sommes assombri, dolent, inconsolé,
Dévote soupirant, ou sorcière goualant.
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Tu es le boutonneux, le con vermiculé,
les soupirs du minable et les cris du vulgaire !
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Je pêche au grand verveux, au vif. Le thon salé,
La sardine est éteinte, et je l'ai dégrafée.
-
Je suis enténébré, veuf et inconsolé,
Celles qui soupiraient et celles qui hurlaient.
-
Mon frère ténébreux, veuf, triste, inconsolé,
Les soupirs et les cris que je ne peux t'écrire.
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L'obscurité je suis, l'absent, l'ersatz navré,
L'extase étincelante et quelque Lou jolie.
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Je suis le Nouvel an, jeune prince Janvier
le bonheur en amour, la santé, la fortune.
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Pampa du Ténébreux, du veuf, de l'exilé,
Olé la Floralis Genérica, Péon !
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Je suis Le Grain des Peu, — le Feu — , L'x immolé,
Juste mes Bribes d'ADN, Je(u) Dont le tri On Phait.
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Je suis le blanc mouton, ma bergère me presse,
Ne rougis pas, bergère à la bouche de fée.
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*
*
-
Je suis le très traqueux, le vert, le liquéfié,
« Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? »
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Hélas ! Hélas ! Il bouge, abattu, cœur noir, doux,
Ma calme ouzbèke chef se ferme ! Démesure !
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Foule d'ennui, sitcom, ténèbres, sanguignon,
douchant soupir élu, thrène déjà devin.
-
Je suis l'année dix-sept qui vient de commencer.
en de tendres soupirs ou en cris de rebelle.
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Le phy'ss n'a plus d'chicop'ss, est HF et HP
La cousine Lison et l'hymne des Gadzarts.
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Je suis le flou brumeux, le triste inconsolé,
des soupirs que gémit une magique fée.
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J'ai les noirs et mon roi s'est bloqué sur h8.
Comme un doux Petrossian, un Tal qui terrifie.
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D'âme de fer en ténèbres, sans avaleur
D'être passé rassis que l'avenir radie !
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Depuis qu’il est allé bronzer au Pausilippe,
de voir l’inconsolé faire le bel esprit.
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À moi, mon chagrin ! Aigri, bourru, sans nul rut,
Nos cris fous, babils, soupirs, sanglots saints ou sots.
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Strider ténébreux, — pas marié, — esseulé,
Les peuples de ce monde, et Arwen, l'Elfe-Fée.
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Je suis le patriote, le roux, l'assassin,
Mais mon fil inversé trouva ris salutaire.
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Hombre sombre je suis, — hoir noir et tendre gendre,
De mainte sainte aux gris iris en pire rire.
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Me résume refus, — veuf veule, — le damné,
Yodleraient dame Mas, faims féminines, sienne.
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Je suis le faune heureux, le bouc si vous voulez
Profitant, fou d'amour, sur ta gorge étoffée
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— Jessy, là, t'es né beur ? Larve ! Œuf et l'cassoulet !
C'est lourpidon l'enceinte, elle écrit délacée.
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Je suis le douloureux, le bœuf, l'émasculé,
J'aurais pris ses roustons pour m'en faire un trophée.
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Je suis ce ténébreux perdu, — l'inconsolé,
Un soupir qu'a la sainte avec ces cris de fée.
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Je suis l'enténébré, — l'as veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les chants de la fée.
-
Ténèbres : je pâlis, ô veuf ! Qui m'a déchu ?
Soupirs béats de juive, ou fée qui semonce « ugh ».
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
-
J'ai vu Teniers, Huber, Lévy, et les Van Eyck
Les soupirs de Saint-Phalle et les cris de Léger.
-
Je suis le ténébreux, le veuf, l'inconsolé,
Pour pêcher dans l'Enfer des étoiles nouvelles.
-
C moi le TnébrE le vEf l 1konsolé
lé sniif 2 la 5te & lé cri 2 la fé
-
Je suis le chef nerveux du « Bœuf bien rissolé »,
Soupière qui chuinte et riz à l'étouffée.
-
Je veux l'élu bénef, le Suisse incontrôlé,
Dépouillant les recels des aises tarifées.
-
Je suis le ténébreux qui fit un beau voyage —
Et soupirs de la sainte, et douceur angevine.
-
Re rui le nénémreu, — le reur, — l'ingnonrolé,
Les roumir ne la rainne et les gnri ne la rée.
-
Je suis le lénébreutem, — le veuf, — le linconsolévem,
Les loupirsé de la laintesé et les licrem de la léefem.
-
Je suis le lumineux, polygame et, comblé,
Les hauts cris de Satan, les silences sorciers.
-
Moi seul sur mon tandem, – meurtri, – je ne dis mot,
Zélés soupirs à deux zébrés d'intermezzo.
-
J3 §û¡s l& t&néb®eu¤, — £3 v&üf, — l'¡nÇon§olé,
Les søüp¡®$ Ð& £a $a¡nte et £e$ ©®¡s de £a fée.
-
Je suis le Ténébreux le Veuf l'Inapaisé
De si pieux soupirs ou le cri de la Fée
-
Leucémique lettré, lentement lessivé,
Desdémone, dessous, desséchait, dessillée...
-
Je suis le veuf, — le sombre anathématisé,
Cris de fée ou de sainte emberlificotée.
-
Avouer avoir revu le veuf, le vérolé,
Ouïr l'air au brailleur, ou le verbe à la fée.
-
Le soliflore tu, — fini, — cible divine,
Sur ce brame tari de novice martyre.
-
Je suis un veuf obscur, un martyr recalé,
Bas soupirs d'ultra sainte, immoraux cris de fée.
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Je m'appelle le sombre, — homme triste, — écarté,
La sœur parlant tranquille ou criant sa colère.
-
Je suis le débutant, — trop neuf, — ensorcelé,
Quand la pire contrainte est le prix du trophée.
-
Je suis le grand breton, l'orphelin, l'endeuillé,
Un tout dernier adieu, the last “God save the Queen.”
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Je suis le graveleux, — menteur, — l'incontrôlé
Que notre pire crainte est bien devenue vraie.
-
Je suis le ténébreux — le veuf,
les soupirs de la sainte et ses cris.
-
Je suis la Pauwésie. Un type un peu fêlé
qui brûlent de jouer à la bête à deux dos.
-
Je penche sombre au sol, veuf d'un sac attrapé
L'écu d'or de la sainte, au matin, pour la fée.
-
Je suis le courageux, le fils de Skywalker,
Les soupirs de Yoda et les cris « Liberté ».
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Je suis le roi des nuls au chignon de mouton,
Hélas ! je ne peux donc m'exhiber en vitrine.
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* Sitôt qu'a disparu le coupable immolé,
* Tenant de mille cœurs un superbe trophée.
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Et là, c'est moi si las — le sot — le feu usé,
Ou la fin des ris d'Ève et de la fée en Mi.
-
On le sait dépressif — ô deuil inconsolé ! —
Les soupirs de la Sainte et les doux cris d'Astrée.
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Moi le clair, consolé, le bienheureux marié,
Les motets de la gouine et les ris de la naine.
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Je suis le Tendronneux, le Bœuf, le steak-haché,
Les saveurs de l'assiette et les crûs du Bordeaux.
-
Je sius le téréuebnx, — le vuef, — l'icolsonné,
Les souirps de la sintae et les cirs de la fée.
-
Je suis Plantagenêt, — Duc d'York, — etc.,
Qu'un Destrier fringant du Remords me délivre !
-
Nous sommes ténébreux, veuf et inconsolé,
Soupirant comme sainte et criant comme fée.
-
Je suis l'Immonde, — la Fiante, — l'Inavouable,
Les ardeurs de la langue et la soif du décès.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
-
Je pense à toi, Myrtho, moi, veuf, inconsolé,
Les soupirs de la Sainte, unis au Myrte vert !
-
Quand vous serez bien vieille, ô veuve inconsolée,
Oyez dès aujourd'hui les doux ris de la Fée.
-
Je suis le Ténébreux, de la nue accablé,
Les enfants de la Sainte et le flanc de la Fée.
-
Je suis le ténébreux, — chau20, — inconsolé,
Les soupirs du di20 et les cris de la fée.
-
Je suis le son du cor le soir au fond des bois,
Son éternelle plainte au chant désaccordé.
-
Noir, benêt, nu l'été tel un ténébrion,
Sème opium, arioso, soir amuï, poèmes !
-
GEFait le ténébreux, le veuf, l'inconsolé
GEFendu de soupirs et la sainte et la fée
-
Je suis le comédien, — le veuf, — l'inconsolé,
L'horreur de la relâche au temps des vaches maigres.
-
Je suis le très nerveux, le keuf, l'incontrôlé,
Dans des sous-sols qui suintent à leurs cris étouffés.
-
Masculinisation. Automutilation.
Subvocalisation. Revitalisation.
-
Je serais l'obscur fils, — l'amer veuf, — l'hoir volé,
Soupirs de sainte émue et clameurs d'aigre fée.
-
Je suis le tir à l'arc, — la voile, — le jetski,
Les squashs du scooter et les crickets du flysurf.
-
Je fus le généreux, le seul, l'incontrôlé,
Sans qu'on offre une absinthe à ma gorge assoiffée...
-
Je garde l'esprit noir comme une étoile morte,
Sortant du puits, l'amour de Phébus est pérenne !
-
Drôle d'oiseau, comment te définirais-tu ?
Que percevons-nous donc, ô trop vagues déesses ?
-
Je suis le ténébreux, — le veuf traîne-semelle
Alternés avec doux chants de Jeanne Moreau.
-
Je suis le très frileux, le bleu, le congelé,
Les frissons d'une sainte à la robe trouée.
-
Toi, ô veuf, ô époux inconsolé et Prince,
Soupirez, sainte ! Tu pourrais claironner, fée !
-
La nuit c'est ténébreux, le feu vient l'annuler
Dans des spires sans fin, taris dans le passé.
-
Je suis l'astucieux, — scripteur, j'ai raconté,
À la voiture crainte, à la trompe fieffée.
-
Je suis le ténébreux de la palle jaunisse,
Les soupirs de la sainte et mauvaise sentence ?
-
Le veuf est ténébreux et son âme est gelée
Le soupir est saint et son cri est féerique
-
Ιε συισ λε τενεβρευξ, — λε υευφ, — λ'ινχονσολε,
Λεσ σουπιρσ δε λα σαιντε ετ λεσ χρισ δε λα φεε.
-
Je suis Leténébreux, le veuf, le possédé,
Des soupirs de la sainte et des cris de la fée.
-
Je suis le yakuza, le zen, le kamikaze,
Les haïkus, les tankas, le kabuki, le nô.
-
Il cache le délice, il lâche sa Chloé,
Docile à la saillie, Léda l'idéalise.
-
Jeannoirci sans amour, je suis inconsolé
Jeanne d'Arc soupirante et Jeanneton fieffée
-
Je suis le breunété, — le feuveu, — le lésoconin,
Les pirsous de la teusain et les cris de la fée.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
-
Je suis le malchanceux, — pas neuf, — le bricolé.
Et le navire sans crainte est parti comme un jet.
-
Tu sais ma dilection, — ma faim, — d'étrangeté,
Mon diamant ne se pioche en nul ptyx si je rée.
-
J'ai aimé me meurtrir, — irrésolu, — lucide,
L'entre regret et être : rêve vespéral.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf qui les promène.
Ni soupirs de la sainte ni sanglots de près.
-
Je suis l'athée scabreux, — le bluffeur gondolé,
Laisse empirer la feinte et le rire esclaffer !
-
Je suis albugineux, sang de bœuf, bariolé,
Les saphirs de l'absinthe et les gris bigarrés.
-
Je suis le Ténébreux qui plie, inconsolé
Comme on supplie : ô Fée, ô sainte Cantilène !
-
Je suis le ténia bleu, — le bœuf, — l'invertébré,
Les tapirs de la dinde et les krills de la raie.
-
Je suis le ténébreux, le Sphinx inconsolé,
Les loopings d'une feuille et le vol d'une fée.
-
Au premier vers l'on voit un veuf, un ténébreux ;
Deux femmes — plus qu'Orphée ! — dignes de sa passion.
-
Je suis le Chihuahua, — le Clebs, — l'Ardennais,
Les soupirs de la crainte et les cris imparfaits.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — le cénobite,
Les soupirs de la sainte et les cris de l'orfraie.
-
Je suis le petit lion, — le loup, — le bouclier
Les soupirs de la vierge et les cris de Céphée.
-
Je suis le punk chyleux, — le junky, — l'aptéryx,
Le witz d'un rock de daw, le schwa d'un slow de fée !
-
Je suis l'assombri, le sans femme, l'attristé,
Un babil de l'abbesse ou le cri de la fée.
-
C'était toi le sombre homme et l'odieux solitaire,
En mots du lent méchant qu'aux morts fait peu salir.
-
Je suis ténébreux, le veuf et l'inconsolé
des soupirs de sainte et des feulements de fée.
-
Suis-je ténébreux ? Serf veuf jeune et cerné ?
Cris, soupirs sondant free jazz, soupçon frisson.
-
Je suis le trente-deux, — le neuf, — l'un au carré,
Laissons pi deux fois cinq : c'est Leibniz qui l'a fait.
-
Je suis l'Ahasver hâve, à nul ne puis m'unir,
Les jurons de l'ânier au bourricot navré.
-
Les Français sont nombreux, — c'est neuf ! — déboussolés.
Tes soupirs, c'est la crainte arrivant par bouffée.
-
Il est le lumineux, l'époux, le consolé.
Le ronron des damnés et le chut des novices.
-
Euthanasié comme un ténébreux macchabée
Homme égaré, ta voix comme el Majdoub levée.
-
Grison enténébré je suis toujours en deuil,
La sainte soupirante et la fée au cri long.
-
Ég eéfa le dsircselt, — ee tnia, — s'aledsripu,
Irp elélosn oc ni lfueve lx uer béné te ls ius.
-
Un froid et ténébreux silence dort à l'ombre,
Ta bouche n'est qu'aux cris, au creux de cette roche !
-
Je suis la balafre, le trou, la cheminée,
Les soupirs de la sainte et les cris de l'orfraie.
-
Moi, veuf, inconsolé, ténébreux aujourd'hui
Soupirs de sainte, ou cris de fée, ou chant du Cygne.
-
Je suis le tensoriel, le veuf, le consolé,
Les soupirs de la sainte et le « chut » des novices.
-
Je suis l'obsédé vieux, le veuf, le dégonflé,
Les soupirs du plaisir et les cris de l'orgasme.
-
Baronnet à la veine atone, terminée,
Ce récit tapageur fringant m'aiguillonnait.
-
Encore ressasser ce consternant sonnet,
« Oh ! ce salamalec ! cela m'a las écho... »
-
Je suis le mélodieux, tout neuf, incontrôlé,
Souvenirs d'une étreinte aux doux cris de l'aimée.
-
Hélas ! inconsolé, je suis ténébreux, triste,
Aux cris de fée impurs les mystiques soupirs.
-
Je suis l'hurluberlu, — l'inuit, — l'inconsolé,
Les « bravo ! » de la sainte et les « ouf ! » de la fée.
-
Las, je vis goût amer, — si confus, — sans répit,
Agressifs ou larvés tirs couvrant les cris fous.
-
Je suis le Très Douteux, le Taux dissimulé,
Les risques de l'Impôt, et la Loi modérée.
-
Prince girondin suis, au Procope exilé ;
De soupirs et d’absinthe et d’écrits au café.
-
Je suis la 2CV, — la Vraie, l'Indémodée,
Les « teuf-teuf » du moteur, les « bip-bip » du klaxon.
-
Je suis là, sous vos yeux, — tout neuf, — et bien gaulé,
Ma planète enceinte, de vie serait truffée !
-
Je suis le Bienheureux, le Vif, l'Incontrôlé,
Les gueux et leurs soupirs, la justice étouffée.
-
Je suis la ténébreuse, une veuve isolée,
Des chansons dans le noir et des cris de surprise.
-
J'essuie l'été nos bœufs, lave les cochons laies
Le saoul privé d'Absinthe a les kirs des cafés
-
Anton sombra sans fin dans un trou abyssal.
Puis il joua un air sur son violon divin.
-
Je campe ténébreux, — veuf aède, — isolé,
Soupir kitch d'âme juive ou bagou qu'a la fée.
-
Je suis le paresseux, le Fainéant, l'aï,
Les voiles de la sainte et le bosquet des fées.
-
Je suis « Le Ténébreux », — tout neuf, — le dernier né,
L'arôme de la sainte au bouquet de la fée.
-
Las, honni, Prince d'oc, grinçant s'il se console
L'aboli bibelot, l'inanité sonore ! »
-
Je suis le ténébreux, contre la ville entière,
Les soupirs de la sainte de leurs amours défunts.
-
Je suis le foncé, — le veuf, — unconsoled un,
les soupirs de saint et des cris de la fée.
-
Je suis le Président, — si seul, — indésiré,
Des dégâts de la veille aux marchés financiers.
-
Je suis le sulfureux, l'affreux, l'ensorcelé
Pour damner cette sainte et tarir cette fée.
-
Autodénigrement, — inconsolablement,
Théologiquement surnaturellement.
-
On est un ombrageux, — un amant orphelin,
Amples exclamations après airs angéliques.
-
Je suis le petit « e », juste un « 9 » inversé.
Et soupirant ravies : Cet écrit, qui l'a fait ?
-
Je pâlis, isolé, morose, démoli,
Du râle du divin à l'orage du mage.
-
Je suis petit salé, lentille, et veau grillé,
Les gâteaux de la fête et puis les entremets.
-
Je vis sans temps précieux, — les jeux, — en décanté,
On soutire en traçant la barrique entourée.
-
Je me révèle sombre, — ignoré, — le morose
L'ahan bref du profès au brame fou profane.
-
Il est le ténébreux, l'exécrable, l'innommable
Le mythe de Chtulhu, l'hérésie de Dagon.
-
Je me sens douloureux, veuf, sombre, inconsolé,
De respiration sainte et tumulte magique.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — le constellé,
Les soupirs de la sainte emmi les cris d'Orphée.
-
Je suis ce Solitaire au sort inconsolé,
Ces saints soupirs et ces lamentations de Fée.
-
Il vit si gris, bibi, q'il prit cinq, dix, vingt spritz.
Pirlimpinpin d'ifrit, pis cris d'incivil djinn.
-
Je suis l'inopportdeux, — l'ahuite cafartrois,
De la cinquinette et la mystificinquice.
-
Je suis l'ex-amoureux, le veuf, l'inconsolé,
Les soupirs de l'étreinte et des cris de pâmée.
-
Je suis le très breneux, — le bœuf, — le con sonné
Et les soupirs des sept aux cris de coryphées...
-
« Centre de Karambeu... Lebœuf... Bien contrôlé !
sous les applaudissements, les coups de sifflets.
-
Je suis le poussiéreux, la cloche enténébrée
Les bégaiements de Joyce et les cris de Pozzo.
-
Je suis le généreux qui vient vous consoler,
Les soupirs de l'étreinte et les cris de la fête.
-
Je suis le ténébreux — putain, con, enculé !
Les soupirs de la Sainte — ou pire... euh ! la Santé !
-
Je suis le monstrueux, – l'erreur, – l'inenrhumé,
Mes soupirs pour Roxane et l'horreur de mon nez.
-
Je suis morne, morose et sombre, — solitaire,
Des hymnes de fidèle ou d'athée féerique.
-
J'ai eu le tétanos, le flush, l'impétigo,
les vapeurs du cloaque et les poux des tranchées.
-
Clair Ténébreux, veuf et joyeux inconsolé,
Mot sourd de Sainte damnée, cri muet de fée.
-
Je suis le malheureux, l'auditeur esseulé :
Par le talent sans feinte et la joie décraquée.
-
Ô Saint Inconsolé, enténébrez les Veufs !
Soupirez, Santa Fé, criez les Conclusions !
-
Je suis le Ténébreux, bœuf, pommes rissolées,
Les soupirs de la Sainte et d'un pousse-café.
-
Jo seus lo tónóbroex, — lo voef, — l'uncansaló,
Los saepurs do li siunto ot los crus do li fóo.
-
-
Je fus le dépecé, — l'aède, — l'affolé,
Ce défi de la sainte et ce fa de la fée.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les gwerz de la fée.
-
L'affligé ténébreux le veuf perd sa maîtrise
chaque soupir de sainte est un cri surhumain
-
J'ai changé mes moyeux — tous neufs ! — ça va rouler,
Soupiré à Aspin, Aravis, Tourmalet.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf peu décidé,
Les soupirs de la sainte. Erreur : c'était la fée.
-
Jésus le bel hébreu, le juif, le sacrifié,
Et toute cette histoire me semble ridicule.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — le pathétique,
La sainte soupirante et la fée agressive.
-
Je suis le laborieux, — le bob, — le harcelé,
Les soucis de l'absinthe et le prix du café.
-
Je suis née du chagrin, — la douairière triste,
Aux sanglots de la sainte et aux cris de l'actrice.
-
je suis inconsolé lorsque l'on me cloisonne
les écrits de Seuphor pour récits d'Ephorus
-
Je m'évoque fumeux, — boueux, — veuf, — bafoué,
Bouffée au Dieu de paix ou voix magique impie.
-
Je suis T'es-né-hébreu, — le Veuf, — l'Inconsolé ;
Les deux grands Testaments — l'Ancien et le Nouveau.
-
Je suis le néné creux, le mou, l'inconsolé,
Ma crainte d'être enceinte... et mes grands cris d'orfraie.
-
Je suis le vrai Hébreu, le Juif, l'Israélite
Le récit de la Pâque et les chants de Kippour.
-
-
Je suis Gouvernement, le neuf, le remanié.
Soupire en recoiffant Marianne ébouriffée.
-
J'avance enténébré, l'âme désespérée,
Les râles de béate et les appels de fée.
-
Ai l'air de sang de jais, — décavé, — sans ses aides,
Sens saint béat et airs sans haine.
-
J'ai été un bourru, un veuf toujours soucieux.
Là un seul souffle, ô Sainte... ici un cri, ô Fée !
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
J'unis Euphronios pur à l'orphisme attendri.
-
C'est toi l'assombri Kay luttant d'opacité,
module en phonétique ire et Scythe encor Fée.
-
Je suis le ténébreux et le bel aujourd'hui,
un cygne d'autrefois et les cris de la fée.
-
Je reste le lésé, – le terne, – le secret,
De cette femme Mère et des messes des fées.
-
Je suis le mystérieux, — le veuf déboussolé,
Le soupir de la Sainte et sa voix si nacrée.
-
Je suis l'obscur mortel, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et hurlements de fée.
-
Je suis le Révolté, — l'insoumis marxisé,
L'ex-hymne soviétique et les cris d'un Onfray.
-
Moi le Sombre, — Solitaire, — si Désolé,
Soupir de Saintes ou murmures des Morganes.
-
Je suis un poids léger, — crochet que j'ai collé
Souvenir qui suinte et sono étouffée.
-
Je suis l'homme masqué, le prudent, le testé,
Les râles des réas, les guérisons en liesse.
-
J'essuie le vingt-deux, le vingt-neuf m'a frôlé
Ah ! Voir surgir le trente et s'écrier « Villiers » !
-
Il était une fois un veuf inconsolé,
« Il ne but plus jamais », nous dit le coryphée.
-
Fellah, décris-les, tes seins las de pire soûle,
Les sauts qu'on l'un : veuf, l'Hébreu n'était. Le suis-je ?
-
Je suis le Charolais, le Bœuf, le Maine Anjou,
Je pleure la Camarguaise et prie le taurillon.
-
Ci-devant ténébreux, veuf, voire inconsolé,
Sainte pleureuse avec sorcière glapissante !
-
Je suis le ténébreux, le veuf, l'inconsolé,
Tes soupirs, des Esseintes et tes cris, René.
-
Je suis le ténébreux, — le deuil, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les arts de la fée.
-
Je suis et ténébreux et veuf inconsolé
les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
-
Je forme le peu gai, — le gris, — le vieux tari,
Maint ouf du sage pieux et maint cri de la gnose.
-
Jœuf Huy Luton Evreux, Elbeuf, Lincoln Solesmes,
Lesse Oubir Dallas Saintes Conakry De la Fé.
-
Je suis l'aimant, le bon, le veuf, l'inconsolé
Ni l'X, ni l'Y mais un bonheur zélé.
-
Maniacodépressif anathématisé,
Avec l'enchanteresse instrumentalisée.
-
Ye suis lou ténévrux, — lou vuf, — l'enconsoulé,
Les soupirs de la sente et les cris de la feio.
-
Je suis veuf de Bordeaux, — l'obscur inconsolé,
Soupirs d'une sainte, et hurlements d'une fée.
-
Et las des Élysées, — si dur, — il chancelait,
Sa douleur il crie, hurle, aux djinns où est le dais.
-
JE SUIS LE TENEBREUX LE BLET L INCONSOLE
LES SOUPIRS DU SI SAINT ET LES CRIS DE LA FEE
-
Je suis le sénecent, — l'abstrus, — l'ergastulé,
Le thrène cénobite et les hourvaris fés.
-
Infant bafoué, — veuf, — à Pau fief abîmé,
Ahans béats, ma môme, et be-bop à poupée.
-
Je suis l'inconsolé, — le veuf, — le ténébreux,
Des appels de la fée aux soupirs de la sainte.
-
Je suis le très benêt, seul con, fin, le veau laid,
Loue la spire et deux seins ta queue laide.. il l'effraie !
-
Dahu filant, — rote et extasie,
Tenté, dahu fait axel... sortie !
-
Je peux me subvertir au lieu d'affabuler.
par terreur, je me tracte au fil veuf de la vie.
-
Je suis — Éden heureux — l'hôte de Grandvillé :
ce qu'inspire sans crainte une exquise assemblée.
-
Je suis le butyreux, — le basin, — l'acronyque
Les bannes de la bâte et les basins de Mée
-
Veuf de deuxième classe, en un train désolé,
J'ai senti les soupirs de la locomotive.
-
Je suis plus seul que tout, mon spleen est accablant.
Râlements de déesse et clameurs de sorcière.
-
Je suis l'hypnotiseur, — le petit, — ou le grand,
À la femme croyante, à la femme soignante.
-
Je suis le Condrieu, Châteauneuf, Montlouis
Des Côtes de Brouilly et des crus de Chénas.
-
Enténébré je suis, et veuf, inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris d'une fée.
-
Je suis le ténébreux taillé dans l'or massif.
et le naufrage horrible ; et mon luth constellé.
-
Je fuis Le Pen et Dreux, je veux Flins consoler,
Les soupirs de la junte et les écrits du Che.
-
Je suis privé de dot, — roi qu'à tort Zeus en ses
Brassens ou Valéry, de Sète, s'en dit suite.
-
Je fais ténébrion comme pli consolé,
cent soupirs de ramas : tant Fauve y bourrait Fée !
-
J'ai joué au vieux veuf, — opaque, — j'ai gémi,
J'ai mugi ma java au boui-boui impudique.
-
Je suis le ténébreux, — le fiévreux, — le morose,
Les glissandi dolents de fée ou de lady.
-
Je suis l'hurluberlu, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les « ouf » de la fée.
-
Je suis le dispendieux — sang neuf, — mais embaumé,
Mon stress perd en sa crainte et son prix de l'attrait.
-
Suis-je objet malheureux ! Mon père est offensé,
Mais ensemble amoureuse... Ah ! La perte assurée !
-
Je jeûne névrosé, — séide désolé,
Temps psalmodiés, essor, orchestral alchimiste.
-
J'en suis vraiment joyeux, — c'est neuf, — c'est bien gaulé,
De croupir, la crainte ils l'auront bien étouffée.
-
Je suis le Président, le Bush, l'Inconsolé
Son peuple, ses amis, et Monsieur Kim Jong Il.
-
C’est un veuf noir,
Des fées hanté.
-
Être le ténébreux, le veuf, l'inconsolé,
Soupirer une sainte et crier une fée.
-
Zsö szüi lö ténébrö, — lö vöf, — lö dézolé,
Lé szupir dö lá vierzs é lé kri dö lá fé.
-
Je suis le titannique, — le visco-mica, — l'intérimailleur,
Les stadrénalines du sarajé-veau et les cyclopinettes de la floptimiste.
-
Je suis le ténébreux gai comme un sansonnet,
Il s'en alla disant : « Et les cris de la fée ? »
-
Je suis le 10ébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs d'A10a et les cris de la fée.
-
Je suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
-
Je suis le ténébreux alors que je baisotte
Les soupirs de la sainte et son petit tonnault.
-
Jetez brique au licol, au maquis matou beau ;
Partout Ours a refait soude ma faux bouffée.
-
Je devenais affreux vieux script déboussolé
Les soupirs de leur crainte et leur grogne étouffée
-
Je suis Bleubleu, jean-jean, gnangnan, inconsolé,
Le blabla de la Sainte et le chichi de Fée.
-
Ténébreux, endeuillé, abattu, enfiellé,
Geignements sanctifiés, féeriques psalmodies.
-
Être là et nier, — éreinté, — alerté ?
À redire Desdi nid se déridera...
-
Je suis comme un lépreux banni, discriminé,
De nymphe évaporée ou d'inverse cathare.
-
Je suis l'albinos blême et seul, au teint de lait,
Les soupirs de la plainte et des cris de révotl...
-
Je suis le ténébreux, — perdu, — inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de sorciers.
-
J'osais fuir, ténébreux, veuf et inconsolé
J'osais féliciter Joseph et l'y citer
-
Je suis l'industrieux, — le ver, — l'incoconné,
La soierie et la sainte, et l'arbre du bombyx.
-
D'ébène je me vêts, sec et désespéré
Les vents de Ste-Eve et le bêlement des fées
-
J'ai un cafard obscur, sans conjoint, sans amis,
Maints soupirs du croyant ou maints cris du sylvain.
-
Il est enténébré, ermite inconsolé,
Élue exhalant et envoûteuse acclamant.
-
Je fus le malheureux, — le veuf, — l'humble volé,
Pleurs de la religieuse et cris de trolls des antres.
-
Hère sec dans la gêne à sale mine ou groin,
Et hurler ou pester la fée en stances graves.
-
Je suis noire mais belle, et veuve inconsolée,
Les larmes de la sainte et les voix de la fée.
-
Je suis Grand Aigle Noir, le veuf, l'inconsolé,
Les soupirs de la squaw et les cris du papoose.
-
Suisse Lège d'Evreux, d'Elbeuf ou Condolet,
Ley Soupir de Laas Saintes et Crissey de Laffrey.
-
Je suis le très nerveux, le vif, l'incontrôlé,
Les soupirs de plaisir, les plaintes étouffées.
-
Je suis de Montueux, — de Fons, — de Codolet,
Les soupirs de Crespian et puis ceux d’Argilliers.
-
Sinistre, soucieux, solitaire, songeur,
Soit soupirs sanctifiés, soit sourds sanglots secrets.
-
Je suis le très benêt, — le Veuf, sain, long, collé,
Les fers saints de la soute et les cris de la pie.
-
Je suis le thé, le tétée, le tes nez, le tes nénés, le ténébreux, — le vœu, le veuf, — l'incon, l'inconcon, l'inconsolé,
Momo, modulant toutou, tour à tour sur la la, sur la lie, sur l'hallali, sur la lili, sur la lyre d'or, dort, d'Orphée,
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Je su le té né bu le vu l'in qu'on s'au lé
L'et s'ou pi de la s'in t'et lé ci de la vé !
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Tu tus toi, Ténébreux, ta teuf — Incontrôlé.
Six soupirs sanctifiés et j'ai sifflé Persée.
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J'ai trouvé un sonnet qui décrit un poème
Correct, mais assez plat : je lui accorde treize.
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Rôdeur ténébreux, — de ma race dernier,
Puissants de Middle-Earth, Arwen des Elfes, la Fée.
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Être roi retraité, — raturé, — torturé,
Ta note et ton antienne à nonne anéantie.
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Démodé, dévié, ado veuf adipeux,
Bée pipeau de diva, bégaie hi-fi de fée.
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Je suis un pain perdu, sans beurre, inconsolé,
et livré en pâture à un écriveron.
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Je suis le Lumineux, — l'Époux rasséréné —,
la pécheresse apnée et le Silence occulte.
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Je suis le replié légataire volé
Maints soupirs de la sainte et chahuts de la fée
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Je suis le boutonneux, le hâve au cul pelé
De la graisse de porc et de l'huile camphrée
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Je suis le Nébuleux, — le veuf, — l'inconsolé,
les sanglots de la sainte et l'aboi de Méduse.
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Je suis El Sombrero, — le Veuf, — toujours en pleurs,
Soupirs de Sainte et cris de Morgane au Solstice !
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Je suis le capitaine au donjon assiégé,
Goûtons au chocolat, Clémentine, ô ma fée.
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En Sirène, en Pibrac, en ténèbre au doux fruit,
sûrs de ne vaincre Sphinx : il tut fidèle lyre.
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Je suis l'enténébré, — le vif, — l'être abattu
Les soupirs de la mère et les cris de la fée.
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Je suis le vénéneux, le gueux, le vérolé,
Le soupir de la plainte et la crise étouffée.
-
Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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Whig d'York aux plombs fondus, vizir au jour quiescent,
+ : « '...'...' » / *,* : « % § ! @ # ! »
-
Consolé,
Pour la voir soupirer décoiffée.
-
Je suis le plantureux, le doux, le potelé,
Tu n'es pas une sainte et tes doigts sont de fée...
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inadéquat,
De la sainte un soupir, de la fée un toffee.
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Je soussigné le temps, — le veinard, — l'inconscient,
Les soundclouds de la Sarenza et les Cristiano Ronaldo de la Fée Clochette.
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Suis Ténébreux-se — Veuf-ve — L'inconsolé-e,
Râleurs-ses bénis-es, crieurs-ses coiffés-es.
-
Je vois, c'est ténébreux, je vois votre adorée
Aux soupirs et aux cris vous serez abonné.
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Je suis le ténébreux, — le veuf privé de legs,
Mais imitant parfois l'envoûteuse qui hurle.
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Génie trop malheureux ce poète indompté
Las des pleurs de la sainte, riant avec ta fée
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Je suis l'assombri, le veuf et l'inconsolé,
Les soupirs de sainte et les hurlements de fée.
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J'avance endolori, — sans conjoint, — strangulé,
Tantôt plainte d'un saint, tantôt d'enchanteresse.
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Je ne goûte ample joie, — je sanglote, — isolé,
Outre une moue de sainte, une nymphe criante.
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Mézig il est pas joie, sans bergère et pompé,
Les baratins du nave et la java des Sœurs
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J'étais un ténébreux — mais tu m'as allumé
La sainte soupirait — je fais hurler la fée
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Je suis un initié tout neuf non empaillé
Les cris des officiers, les soupirs du couvreur
-
Je fus présomptueux, — ce taf m'a étiolé
Et soupire Gaïa sans fin à l'étouffée.
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Ego, l'être vil, apporte le mal, lésé ;
Rime. Sel. L'âme, le trop pâli, vert éloge.
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Je suis la femme en creux, la Meuf, la désenflée
Tantôt mordre à leur cou, tantôt boire à leur table.
-
Eh bien oui maintenant je suis l'inconsolé
Mes soupirs de la sainte et mes cris de la fée !
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Je fuis le pellagreux, le neuf, l'émasculé,
Les tapirs de la ceinte et les bris de la bée.
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Le baiser de la sainte et le cri de l'Amour.
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Je suis le Malchanceux, le Veuf, l'Abandonné,
Les rêves de l'Enarque aux lois du Technocrate.
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Je suis le fou des nuits, le veuf, aux pleurs sans fin,
Les bouh ! bouh ! de la sœur et les cris de la fée.
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Je suis l’enténébré, le mari désolé
Pour qu’au lieu de soupirs, j’ai les cris d’un succube.
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Apollon : brillait-il, l'astre jaune étiolé ?
Flacon du souvenir au parfum chimérique.
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Hypoluminescent, inconsolablement
L'évangélisatrice anticonceptionnelle.
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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Tu fus plus brun qu'un cul d'urubu sur l'humus.
Turlututu du Un, turlututu du nu.
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Je joue tout attristé, — satire, — âme amollie
Taisons larme mariale, abois, bosses, pression.
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déprimé dépourvu de dame de délice
deux dictions, diva de Dieu, démiurge décèle
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Je suis tel cet hébreux, trop souvent opprimé
Aussi veuf qu'un Orphée, un baiser me gangrène.
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Ténébreux, chagriné, veuf et Inconsolé,
Des soupirs de la Sainte et des cris de la Fée.
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Je suis mourant, l'Auguste à l'air inconsolé,
Sans doute est-il un Seuil à l'ombre du Trophée.
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Si tu es Ténébreux, Veuf et Inconsolé,
Alors cris et soupirs jamais plus sots seront.
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Fi ! saoul, gai, contraint lad ! Schwa ci décomprimai.
Loi rugueuse — ah ! faf veut du cran, lord de la cage.
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L'homme au sort érodé — l'âme à l'arrêt laissée :
S'égaler à l'oral à la messe et la fée.
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J'étais né ténébreux d'un sconse inconsolé,
lampant ta sainte absinthe où s'esclaffait la fée.
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Comme je descendais le veuf, l'inconsolé,
Dans les clapotements et les cris de la fée.
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Je suis le traversier, le fleuve contourné,
Souillon nue, à l'absinthe, à la rue, dépravée.
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Je suis désemparée, à neuf épouvantée
en se donnant la main de Grenelle à Bastille.
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Je fuis le thé hébreu, le vin, l'œuf consommé,
Des soupers, de l'absinthe, les écrits de Fallet.
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Je suis le Ténébreux, — le pou, — l'Inconsolé,
Les Côtes de Brouilly et les vins de Chénas.
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Je contiens vingt-quatre A, trois B inconsolés,
Trente-huit T de la sainte et cinq F de la fée !
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Être éteint, — ténébreux, — xérophile éploré,
Et tantôt trompetant toujours sec, coryphée.
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Ténébreuse je suis, et Veuve inconsolée,
Les plaintes du Martyr et les clameurs d'Urfé.
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Je fuis le thé des preux, le vieux vin qu'on soldait,
Laisse ou pire délaisse un thé, l'écrit défait.
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Je suis le ténébreux par qui tout dégénère,
Moi qui passais par là, je crus voir une fée.
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Je suis téténébreux, — veuveuf, — dédésolé,
Soupipirs de sainsainte et cha-cha-cha de fée.
-
Ni veuf, ni ténébreux, je me suis consolé
rendu sur l'autre bord je dis toujours merci
-
Je suis le ténébreux, l'ersatz d'époux soucieux,
Les « hélas ! » des gens pieux et les « ouille ! » du sphinx.
-
Ici pas de clarté, d'épouse ni de joie.
Je ne sais pas noter les soupirs et les cris.
-
Affligé d'un trépas, – amuï, – le chaos,
Nous rendant notre « amen » nourri d'un piano.
-
Je suis le ténébreux, — l'éploré qui se prostre,
De la sainte un soupir, de la fée un orchestre.
-
Tu l'es, le gris, le veuf, le sans patrie,
Livide mais câline, immuable fait.
-
Je suis le tabellion, — le verg, — l'impositeur,
Le sartre du sachier et le crieur falot.
-
c'est moi l'Looser qui chouine et ma meuf elle est morte
la zoubida d'la zouz et la fée j'l'ai pécho
-
Je suis le ténébreux bonjour messieurs mesdames
Les soupirs excédés, le mépris inhumain.
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Je fuis le tout-reubeux et le keuf isolé,
Les euros de l'Europe et l'UMPS fée.
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Je suis le ténébreux, — le veuf —, l'in10posé,
Les soupirs d'Eury10 et les cris de la fée.
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Je suis le ténébreux dont on a pris le FORT,
Modulé comme Orphée en des chants que je PRISE.
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Jetons sur Le Tellier, le vide, l'inutile,
Lors, soûl de lard, sans eau, lappe ce doux lait froid.
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Je ne suis pas heureux, ni marié, ni léger.
Que la sainte délaisse aussi bien que la fée.
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On sent mon sombre instinct, — sans conjoint, — sans entrain,
Tant sainte un temps ronchon qu'ange enflant un instant.
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Je suis le Généreux, le Bluff, l'Incontrôlé,
Et l'as des as Trouve le magnifique d'un enfant...
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mon morne cœur se noue en sa veuve cassure.
ces murmures sauveurs — ces sermons monacaux.
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Je suis le glauque esprit, — le barman sans pourboire,
Ces choses qui de l'un pour l'autre sont laissées.
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Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l'Inconsolé,
Félin sourd aux soupirs et aux cris de la Fée.
-
Je vaque, dévoyé, — ou veuf, — ou dégommé,
Aux aveux de ma mie, aux appeaux de ma fée.
-
Ténébreux, poil aux yeux, veuf, poil au crâne d'œuf,
Les soupirs, poils qu'on tire, et la fée, épilée.
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Noir suis, déçu, veuf amer — rude sort
Doux airs, péan, cris sans joie, soit tout dire.
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Je suis le vénéneux, — le bluff, — l'ingondolé,
Des soucis de catin et les miches cassées.
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J'essuie : le Taine hébreu ne veut fleins qu'on salait.
Laisse où pis de l'absinthe et l'écrit de l'affre est.
-
Je fuis le vent nerveux, — le creux, — l'incontrôlé,
Dégourdi semant crainte et vertiges d'Astrée.
-
Que luise, ténébreux, un baume inconsolé
les sabbats de la sainte et ses cris de muette.
-
Je suis l'inconsolé
Ahans et cri de fée
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Je suis le Quai des Brumes, Le Vieux tonton flingué,
Les sous-titres qu'éreintait l'esprit de Douchet.
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Ma seule étoile est morte, arrête un peu le bras ;
Des soupirs de la Sainte à quatre trous percée.
-
J'ébruite ce laid nœud, le vain son, l'œuf collé,
les sourcils de la pinte et la fidèle craie.
-
Je suis Prince des freux, le veuf, l'inconsolé
Les croâs du corbeau et les cris de l'orfraie.
-
Il luit assez brumeux, — pas neuf, — l'estaminet ;
Il soupire et se plaint d'être toujours refait.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — le coryphée,
Les soupirs de la sainte et les cris du cinglé.
-
Je reste triste saint, — exsangue exiguïté :
M'eus-tu trahi, hardie, camarde camarade ?
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Je suis foncé, — le veuf — inconsolé,
les soupirs sainte et les cris des Fee alternant adaptant.
-
Je suis l'ombre de Dieu, l'ogre de Tartarie,
les fureurs du corsaire et les cris du barbare.
-
Je suis we ténébweux, — we veuf, — w'inconsowé,
Wes soupiws de wa sainte et wes cwis de wa fée.
-
Je suis le myst'hairieux, cap'tif, bouc et miss hair,
Les vents contr'hairs des poils, les tralal'hair des teintes.
-
Tu tus larmes, — malheur, — chouinons inconsolé
Harpe à tôt station sainte et tard fêtarde fée.
-
J'étais la ténébreuse onde au charme inviolé,
Vaniteux le savant et la foule bluffée.
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Voici le ténébreux bistrot mal éclairé
possible ton regard ton visage de fée
-
Jeu cil été nez bru, — lev œuf, — lin con sot les
Lai sou pie des las fin tes les cri des las fée.
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Je suis l'incarnation de la désolation,
Sur des génuflexions et des exclamations.
-
Élu d'Aliénor ténèbre vécue île
Trace de lieu ce verbe ne trône, il adule.
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Je suis le gars nerveux — le beauf — pas cultivé
Je me tire aux Saintes : l'Élysée c'est surfait.
-
Je suis ombre et chagrin
mixe extase et magie.
-
Joyce hew lieutenant blue love of long obsolete
Lesser peer dollar saint all agreed old Liffey
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Je suis l'homme qui dort, le vœu, le beau présent,
Je suis né dans la vie sans son mode d'emploi.
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Je suis le comateux — switch off sous l'oreiller —
les vapeurs de l'absence et l'oubli par bouffée.
-
Il est lassé, taiseux, — l'oeil suintant, — sans son pote,
Les plaintes de la sainte et l'appel du téton.
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Alalu n'est plus dieu, Hittite désolé
Les soupirs des saintes, la raison étouffée.
-
En deuil, je suis l'austèrE, –En pleurs, –l'inconsolÉ,
Le saint soupir morteL, La fée au cri fataL.
-
Je suis le Ténébreux que vous savez sans doute,
Les soupirs de la Sainte et que j'ai des amis.
-
Je suis le ténébreux, un veuf inconsolé,
Aussi bien soupir saint que haut cri féerique.
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Ride un prince asservi, — périt l'art désolé,
Va lors un cri de troll et de sainte corvée.
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Che s'huile, éteigne et brûle ! Ève au flacon scellé
Lèse ou — pire ! — l'a ceinte électrique, esclaffée...
-
Je suis le silencieux, — le coi, — l'interloqué,
Les soupirs truculents et les cris de la fée.
-
Je suis le Prince noir qui tour à tour vainqueur
J'ai traversé la seule tour et les soupirs.
-
Je suis le ténébreux, le veuf désespéré,
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
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Aboli bibelot, que la Tour abolie :
Dont le Néant s'honore — un Phénix l'a brûlée
-
Allez, venez, Milord, le veuf, l'inconsolé,
Les soupirs de la sainte pour les reprendre après.
-
Je suis un vieil inuit au fou katajjaniq,
Un naïf air d'antan au charme monotone.
-
Je suis « Le Savoureux », — le tout neuf charcutier,
La racine de plante alors j'irai bouffer.
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Je suis le tévanévabreux, — le veuf, — l'inconvasovalé,
Les souvapirs de la sainte et les cris de la fée.
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Je suis le noir cafard, plat et dur corselet,
Les soupirs du carabe et les cris du grillon.
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Je sais un ténébreux, un bœuf inconsolé,
il finira tantôt roast beef à l'étouffée.
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Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé,
Les soupirs de la Science et les cris de la Créativité.
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What a man pas marrant, sans nana, sans calmants,
La Callas ahanant, La Flagstad flambant l'art.
-
Je suis un flacon vide, un veuf inconsolé,
Les souffles, les soupirs, et les cris de la fée.
-
Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
Le play-back de la sainte et le gwerz de la fée.
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Ego tenebrentis, solus, inconsolem.
Sancta suspiramus, gementes virginem.
-
J'étais triste, — anthracite, — inconsolable, — seul,
Tes religieux échos, nos ovations infâmes.
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Usé, délaissé, las, effacé j'ai vécu
Émue est la béate, et aimée, fée rugit.
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I am the veuf qui, noir, est sans aucun espoir,
Orphée lyrique aidant ... saint soupir, évasion.
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Je suis le coléreux, — le zef, — l'incontrôlé
Sabir de défunte, Katrin lisait bluffée.
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La mer qu'on voit danser, — le veuf, — l'inconsolé,
Elle a bercé mon cœur et les cris de la fée.
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Je suis le songe-creux, le bug déboussolé,
Les loisirs de la teinte et l'écrit du café.
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Je suis l'œuvre ennuyeux, — bof —, le fac-similé,
soporifique, éteint... bref, gris d'un trop long prêche.
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Je sens, — assombri veuf, — un tenace supplice,
Un pur cri de vous, sainte, et la voix de succube.
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Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
les gémissements proparoxytons de la sainte et, suraigus, les hurlements de la fée.
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Moi l'obscur roi maudit, – l'aigri, – l'insatisfait,
Vos sacro-saints soupirs aux cris sourds du palais.
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Jésus, Léthé, Ney, Breuil, Le Goff, Lincoln, Solé,
Leskov, Pears, Delalande, Electre, Ilf, Tell, Alphée.
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Je suis le Ténesme, — le Veto, — l'Inconstructible,
Les souplesses de la Saignée et les crève-cœurs de la Fée.
-
Je suis le malheureux avare inconsolé,
Et sur le saint Dollar, et sur la monnaie russe.
-
Délavé général égaré en Vendée,
Langage déréglé, râle de révérende.
-
Je suis la triste cité veuve dans la nuit.
Dont les saints soupirs bruyants masquent le long rire.