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Avatars de Nerval

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Pot-pourri

  1. Apollon : brillait-il, l'astre jaune étiolé ?
    Flacon du souvenir au parfum chimérique.
  2. Je suis téténébreux, — veuveuf, — dédésolé,
    Soupipirs de sainsainte et cha-cha-cha de fée.
  3. Quand vous serez bien vieille, ô veuve inconsolée,
    Oyez dès aujourd'hui les doux ris de la Fée.
  4. Je suis le torero du bœuf banderillé,
    Et les grandes oreilles d'un corregidor.
  5. Je suis un hère ici, — femme bride abattue,
    Ou pester la tourmente en devise conçue.
  6. Prince girondin suis, au Procope exilé ;
    De soupirs et d’absinthe et d’écrits au café.
  7. Il est le ténébreux, l'exécrable, l'innommable
    Le mythe de Chtulhu, l'hérésie de Dagon.
  8. Je suis le dispendieux — sang neuf, — mais embaumé,
    Mon stress perd en sa crainte et son prix de l'attrait.
  9. Je suis qui ? deux cents maux, ah ! sans mots, le deuil pris
    L'amer ou long soupir : où, les cris de la fée ?
  10. Je suis le ténébreux, le Sphinx inconsolé,
    Les loopings d'une feuille et le vol d'une fée.
  11. Je suis plus seul que tout, mon spleen est accablant.
    Râlements de déesse et clameurs de sorcière.
  12. Je suis l'inconsolé
    Ahans et cri de fée
  13. C'est l'air du Ténébreux, du Veuf inconsolé
    le gros lot à la Sainte et le prix à la Fée !
  14. Je suis le nauséeux, SIG 9, inalloué
    Les warnings du linker, les cris de gcc
  15. Tu tus larmes, — malheur, — chouinons inconsolé
    Harpe à tôt station sainte et tard fêtarde fée.
  16. Adam file Sherlock, ayant perdu Irène,
    Clochette hurlant « ta gueule ! » à la pauvre Didon.
  17. J'osais fuir, ténébreux, veuf et inconsolé
    J'osais féliciter Joseph et l'y citer
  18. Je suis comme un lépreux banni, discriminé,
    De nymphe évaporée ou d'inverse cathare.
  19. Je suis le replié légataire volé
    Maints soupirs de la sainte et chahuts de la fée
  20. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Le play-back de la sainte et le gwerz de la fée.
  21. Je suis le ténébreux, — le veuf, — le quoi déjà ?
    Mais quels sont ces soupirs si sifflant sous ces cris ?
  22. Comme je descendais le veuf, l'inconsolé,
    Dans les clapotements et les cris de la fée.
  23. Délavé général égaré en Vendée,
    Langage déréglé, râle de révérende.
  24. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  25. À supposer qu'on me demande,
    L'Eurydice au ça de velours.
  26. Je reste triste saint, — exsangue exiguïté :
    M'eus-tu trahi, hardie, camarde camarade ?
  27. Je pense à toi, Myrtho, moi, veuf, inconsolé,
    Les soupirs de la Sainte, unis au Myrte vert !
  28. J'ai un cafard obscur, sans conjoint, sans amis,
    Maints soupirs du croyant ou maints cris du sylvain.
  29. Je fuis le thé des preux, le vieux vin qu'on soldait,
    Laisse ou pire délaisse un thé, l'écrit défait.
  30. Je suis le grand breton, l'orphelin, l'endeuillé,
    Un tout dernier adieu, the last “God save the Queen.”
  31. Euthanasié comme un ténébreux macchabée
    Homme égaré, ta voix comme el Majdoub levée.
  32. Je suis le foncé, — le veuf, — unconsoled un,
    les soupirs de saint et des cris de la fée.
  33. Je suis le malietteux, — le veuf, — démalietté,
    Les soupirs de maliette et les mœurs de maliette.
  34. Allez, venez, Milord, le veuf, l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte pour les reprendre après.
  35. Je suis Po`o-uli, le passereau râblé,
    Je soupire de crainte au-dessus des vallées.
  36. Au premier vers l'on voit un veuf, un ténébreux ;
    Deux femmes — plus qu'Orphée ! — dignes de sa passion.
  37. Je suis le douloureux, le bœuf, l'émasculé,
    J'aurais pris ses roustons pour m'en faire un trophée.
  38. Je suis le silencieux, — le coi, — l'interloqué,
    Les soupirs truculents et les cris de la fée.
  39. Re rui le nénémreu, — le reur, — l'ingnonrolé,
    Les roumir ne la rainne et les gnri ne la rée.
  40. En Sirène, en Pibrac, en ténèbre au doux fruit,
    sûrs de ne vaincre Sphinx : il tut fidèle lyre.
  41. Je suis l'ex-amoureux, le veuf, l'inconsolé,
    Les soupirs de l'étreinte et des cris de pâmée.
  42. Je suis le titannique, — le visco-mica, — l'intérimailleur,
    Les stadrénalines du sarajé-veau et les cyclopinettes de la floptimiste.
  43. Je suis le Bienheureux, le Vif, l'Incontrôlé,
    Les gueux et leurs soupirs, la justice étouffée.
  44. Je suis le Quai des Brumes, Le Vieux tonton flingué,
    Les sous-titres qu'éreintait l'esprit de Douchet.
  45. Je suis le Ténébreux, — le pou, — l'Inconsolé,
    Les Côtes de Brouilly et les vins de Chénas.
  46. Je suis et ténébreux et veuf inconsolé
    les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  47. Je suis El Sombrero, — le Veuf, — toujours en pleurs,
    Soupirs de Sainte et cris de Morgane au Solstice !
  48. Je suis le yakuza, le zen, le kamikaze,
    Les haïkus, les tankas, le kabuki, le nô.
  49. J'étais né ténébreux d'un sconse inconsolé,
    lampant ta sainte absinthe où s'esclaffait la fée.
  50. Tsar fictif à l'air gris, — au duo désolé,
    Cri d'oppositïon combinant sanctus tchèque.
  51. Élu d'Aliénor ténèbre vécue île
    Trace de lieu ce verbe ne trône, il adule.
  52. Je suis le ténébreux, contre la ville entière,
    Les soupirs de la sainte de leurs amours défunts.
  53. Ma seule étoile est morte, arrête un peu le bras ;
    Des soupirs de la Sainte à quatre trous percée.
  54. Je suis le ténébreux alors que je baisotte
    Les soupirs de la sainte et son petit tonnault.
  55. Je joue tout attristé, — satire, — âme amollie
    Taisons larme mariale, abois, bosses, pression.
  56. Je suis l'hurluberlu, — l'inuit, — l'inconsolé,
    Les « bravo ! » de la sainte et les « ouf ! » de la fée.
  57. Suis-je ténébreux ? Serf veuf jeune et cerné ?
    Cris, soupirs sondant free jazz, soupçon frisson.
  58. Je prends la lourde, ouilla ! j'ai perdu ma moitié
    La triste quinarelle et les cris de la fée.
  59. Je suis « Le Ténébreux », — tout neuf, — le dernier né,
    L'arôme de la sainte au bouquet de la fée.
  60. J'étais un ténébreux — mais tu m'as allumé
    La sainte soupirait — je fais hurler la fée
  61. Suisse Lège d'Evreux, d'Elbeuf ou Condolet,
    Ley Soupir de Laas Saintes et Crissey de Laffrey.
  62. Je suis tellement sombre — et seul — désespéré.
    D'un ange les sanglots, des Parques la huée.
  63. Je suis la femme en creux, la Meuf, la désenflée
    Tantôt mordre à leur cou, tantôt boire à leur table.
  64. Jo seus lo tónóbroex, — lo voef, — l'uncansaló,
    Los saepurs do li siunto ot los crus do li fóo.
  65. Je suis le dangereux, le keuf invétéré,
    Les sourires de feinte et les cris qui effraient.
  66. Je fuis le pellagreux, le neuf, l'émasculé,
    Les tapirs de la ceinte et les bris de la bée.
  67. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Le baiser de la sainte et le cri de l'Amour.
  68. Moi, veuf, inconsolé, ténébreux aujourd'hui
    Soupirs de sainte, ou cris de fée, ou chant du Cygne.
  69. Ton âme est un flacon, mais point du tout fêlé :
    Mais je peste, je rage, et maudis cette fée !
  70. J'avance endolori, — sans conjoint, — strangulé,
    Tantôt plainte d'un saint, tantôt d'enchanteresse.
  71. C'est moi ce ténébreux en deuil, indisposé,
    Soit les soupirs sacrés, soit le son d'un satyre.
  72. Je suis le très nerveux, le keuf, l'incontrôlé,
    Dans des sous-sols qui suintent à leurs cris étouffés.
  73. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les gwerz de la fée.
  74. Je suis le ténébreux, — l'éploré qui se prostre,
    De la sainte un soupir, de la fée un orchestre.
  75. Je suis le ténébreux, — le veuf déboussolé,
    Les soupirs du très saint par les cris de la fée.
  76. Ιε συισ λε τενεβρευξ, — λε υευφ, — λ'ινχονσολε,
    Λεσ σουπιρσ δε λα σαιντε ετ λεσ χρισ δε λα φεε.
  77. Ég eéfa le dsircselt, — ee tnia, — s'aledsripu,
    Irp elélosn oc ni lfueve lx uer béné te ls ius.
  78. Usé, délaissé, las, effacé j'ai vécu
    Émue est la béate, et aimée, fée rugit.
  79. Ma seule étoile est morte à mon cœur désolé
    mon front est rouge encor sur la lyre d'Orphée.
  80. Je suis le plantureux, le doux, le potelé,
    Tu n'es pas une sainte et tes doigts sont de fée...
  81. Ici pas de clarté, d'épouse ni de joie.
    Je ne sais pas noter les soupirs et les cris.
  82. Je suis l'inopportdeux, — l'ahuite cafartrois,
    De la cinquinette et la mystificinquice.
  83. En ténébreux état, — veuvage inconsolé —
    Les soupirs sanctifiés et les cris enchantés.
  84. Je parais en deuil noir et vivre inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  85. J'ai aimé me meurtrir, — irrésolu, — lucide,
    L'entre regret et être : rêve vespéral.
  86. Je suis le ténébreux, l'ersatz d'époux soucieux,
    Les « hélas ! » des gens pieux et les « ouille ! » du sphinx.
  87. Je suis le vénéneux, le gueux, le vérolé,
    Le soupir de la plainte et la crise étouffée.
  88. Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l'Inconsolé,
    — Modulant quoi ? Je n'en ai plus la moindre idée.
  89. Affligé d'un trépas, – amuï, – le chaos,
    Nous rendant notre « amen » nourri d'un piano.
  90. J'ai perdu mon doudou, je reste inconsolé.
    Depuis, j'implore en vain ma marraine la fée.
  91. Jésus, Léthé, Ney, Breuil, Le Goff, Lincoln, Solé,
    Leskov, Pears, Delalande, Electre, Ilf, Tell, Alphée.
  92. Je suis vraiment pas vieux, — trente-neuf ! — tout mouillé,
    Un lot en demi-teinte : liste paraphée !
  93. Je fus le dépecé, — l'aède, — l'affolé,
    Ce défi de la sainte et ce fa de la fée.
  94. Je suis là, sous vos yeux, — tout neuf, — et bien gaulé,
    Ma planète enceinte, de vie serait truffée !
  95. Je pêche au grand verveux, au vif. Le thon salé,
    La sardine est éteinte, et je l'ai dégrafée.
  96. Je suis l'âme en break-down, — le veuf, — l'inconsolé,
    De gwokas de la sainte et de cris de la fée.
  97. Leucémique lettré, lentement lessivé,
    Desdémone, dessous, desséchait, dessillée...
  98. Jésus le bel hébreu, le juif, le sacrifié,
    Et toute cette histoire me semble ridicule.
  99. Autodénigrement, — inconsolablement,
    Théologiquement surnaturellement.
  100. Je suis l'hurluberlu, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les « ouf » de la fée.
  101. Je fus le malheureux, — le veuf, — l'humble volé,
    Pleurs de la religieuse et cris de trolls des antres.
  102. Je suis née du chagrin, — la douairière triste,
    Aux sanglots de la sainte et aux cris de l'actrice.
  103. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  104. Je suis le patriote, le roux, l'assassin,
    Mais mon fil inversé trouva ris salutaire.
  105. Terne homme ténébreux,
    En prodigieux délires.
  106. Je suis le prince inconsolé
    De soupirs et de cris d'Orphée.
  107. Je suis de Montueux, — de Fons, — de Codolet,
    Les soupirs de Crespian et puis ceux d’Argilliers.
  108. Mézig il est pas joie, sans bergère et pompé,
    Les baratins du nave et la java des Sœurs
  109. Je demeure le veuf ténébreux, accablé,
    La plainte de la vierge et le cri de la fée.
  110. Je vais à Richelieu, Pont-Neuf, Pré-Saint-Gervais.
    Chatou-Croissy - Lieusaint : par Quai de la Rapée.
  111. Je suis l'homme au sombre air, — ô veuf, — triste et sans paix,
    Les doux chants de la sainte et les cris de la fée.
  112. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  113. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Soupirs de sainte et hurlements de fée.
  114. Enténébré je suis, et veuf, inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris d'une fée.
  115. Noire
    D'antre !
  116. J'ai vu Teniers, Huber, Lévy, et les Van Eyck
    Les soupirs de Saint-Phalle et les cris de Léger.
  117. Je suis le Tendre, — le Vétillard, — l'Inconsommable,
    Les sourates de la Sainte Nitouche et les cribleurs de la Fée.
  118. Alalu n'est plus dieu, Hittite désolé
    Les soupirs des saintes, la raison étouffée.
  119. Je suis le sulfureux, l'affreux, l'ensorcelé
    Pour damner cette sainte et tarir cette fée.
  120. Je suis le liquoreux qui surfe vent gonflé
    Soupire en Bruges morte un cri d'au-delà lai
  121. Anton sombra sans fin dans un trou abyssal.
    Puis il joua un air sur son violon divin.
  122. En deuil, je suis l'austèrE, –En pleurs, –l'inconsolÉ,
    Le saint soupir morteL, La fée au cri fataL.
  123. Voici le ténébreux bistrot mal éclairé
    possible ton regard ton visage de fée
  124. Je suis l'éteint dimanche au vol non remboursé,
    Et l'ami Saint-Glinglin qui fait courir les fées.
  125. J'ai été un bourru, un veuf toujours soucieux.
    Là un seul souffle, ô Sainte... ici un cri, ô Fée !
  126. Ne bois ce marasquin, — du moût, — d'ensorcelé,
    Son puisard si la source en sol plat ne se rue.
  127. Je suis le Ténébreux, bœuf, pommes rissolées,
    Les soupirs de la Sainte et d'un pousse-café.
  128. Aboli prince, l'Occitan gris se console
    dans l'obit priez Thor, bissant Frigg d'écho sobre. »
  129. Je suis le faune heureux, le bouc si vous voulez
    Profitant, fou d'amour, sur ta gorge étoffée
  130. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  131. Je suis le mystérieux, — le veuf déboussolé,
    Le soupir de la Sainte et sa voix si nacrée.
  132. Tu tus toi, Ténébreux, ta teuf — Incontrôlé.
    Six soupirs sanctifiés et j'ai sifflé Persée.
  133. Je suis le besogneux à la plume raillée,
    Les soupirs du critique et ses cris : « c'est assez ».
  134. J'étais un esprit sombre, un veuf, indésiré,
    Ou le soupir de sainte, ou les cris d'hétaïre.
  135. Je suis le tenu, le vibrant, l'incontrôlable
    Les sourires de la saisie-exécution et les cricris de la félonie.
  136. Je suis enténébré, veuf et inconsolé,
    Celles qui soupiraient et celles qui hurlaient.
  137. Che s'huile, éteigne et brûle ! Ève au flacon scellé
    Lèse ou — pire ! — l'a ceinte électrique, esclaffée...
  138. Pa nout so lánécliun, — pa seuc, — c'etlonnoné,
    Cul saasirr na lo luerpo os ron crac pe te síe.
  139. Je suis véner de ouf et ça me casse les c...
    Comment ça s’fait trop pas ! Je hais les Oulipotes.
  140. Je suis l'homme qui dort, le vœu, le beau présent,
    Je suis né dans la vie sans son mode d'emploi.
  141. Soyons l'enténébré, — l'éploré, — l'esseulé,
    D'exubérance d'elfe à rumeur étouffée.
  142. Masculinisation. Automutilation.
    Subvocalisation. Revitalisation.
  143. Je suis le graveleux, — menteur, — l'incontrôlé
    Que notre pire crainte est bien devenue vraie.
  144. je suis inconsolé lorsque l'on me cloisonne
    les écrits de Seuphor pour récits d'Ephorus
  145. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Reluit : rebelle et pieux, feu le pinson d'orée.
  146. Ténébreuse je suis, et Veuve inconsolée,
    Les plaintes du Martyr et les clameurs d'Urfé.
  147. Démodé, dévié, ado veuf adipeux,
    Bée pipeau de diva, bégaie hi-fi de fée.
  148. Gesses ! huile ! et thé ! je vends ; et bœuf, et cassoulet,
    À cinq sous, hors l'enceinte : le décri fait effet.
  149. Le soliflore tu, — fini, — cible divine,
    Sur ce brame tari de novice martyre.
  150. Je suis le vrai Hébreu, le Juif, l'Israélite
    Le récit de la Pâque et les chants de Kippour.
  151. Il vit si gris, bibi, q'il prit cinq, dix, vingt spritz.
    Pirlimpinpin d'ifrit, pis cris d'incivil djinn.
  152. Le phy'ss n'a plus d'chicop'ss, est HF et HP
    La cousine Lison et l'hymne des Gadzarts.
  153. Je su le té né bu le vu l'in qu'on s'au lé
    L'et s'ou pi de la s'in t'et lé ci de la vé !
  154. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la Schtroumpf et les sorts de la fée.
  155. Je suis la ténébreuse, une veuve isolée,
    Des chansons dans le noir et des cris de surprise.
  156. Je suis le très breneux, — le bœuf, — le con sonné
    Et les soupirs des sept aux cris de coryphées...
  157. Être éteint, — ténébreux, — xérophile éploré,
    Et tantôt trompetant toujours sec, coryphée.
  158. Whig d'York aux plombs fondus, vizir au jour quiescent,
    + : « '...'...' »  /  *,* : « % § ! @ # ! »
  159. C’est un veuf noir,
    Des fées hanté.
  160. Je suis le roi des nuls au chignon de mouton,
    Hélas ! je ne peux donc m'exhiber en vitrine.
  161. Tu sais ma dilection, — ma faim, — d'étrangeté,
    Mon diamant ne se pioche en nul ptyx si je rée.
  162. D'ébène je me vêts, sec et désespéré
    Les vents de Ste-Eve et le bêlement des fées
  163. Je suis tout noir et triste sans ma femme adorée.
    Pour faire plaisir à mes deux meilleure amies.
  164. Je suis noire mais belle, et veuve inconsolée,
    Les larmes de la sainte et les voix de la fée.
  165. Je suis veuf, le Ténébreux inconsolé,
    vos gémissements et vos cris, Sainte et Fée !
  166. Je suis la Pauwésie. Un type un peu fêlé
    qui brûlent de jouer à la bête à deux dos.
  167. Je suis le mélodieux, tout neuf, incontrôlé,
    Souvenirs d'une étreinte aux doux cris de l'aimée.
  168. Je suis le cloisonné, — l'issu d'inconsolé,
    Issant pour pasticher saints chapitres de fée.
  169. Je suis le coléreux, — le zef, — l'incontrôlé
    Sabir de défunte, Katrin lisait bluffée.
  170. Ô Saint Inconsolé, enténébrez les Veufs !
    Soupirez, Santa Fé, criez les Conclusions !
  171. Hélas ! Hélas ! Il bouge, abattu, cœur noir, doux,
    Ma calme ouzbèke chef se ferme ! Démesure !
  172. Je pressentais le deux, le neuf, incontrôlé.
    Près de lui rougissait une sainte extasiée.
  173. Je suis le très frileux, le bleu, le congelé,
    Les frissons d'une sainte à la robe trouée.
  174. Ténébreux, chagriné, veuf et Inconsolé,
    Des soupirs de la Sainte et des cris de la Fée.
  175. Je suis la ténébreuse, une veuve isolée,
    Les soupirs de la mouche et les cris du moustique !
  176. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inadéquat,
    De la sainte un soupir, de la fée un toffee.
  177. Fuyons les ténébreux, — les beaufs, — les enfoirés,
    La Science et la Raison, avec humour, — c'est chic !
  178. Flétri, fané, fiévreux, — feue femme — fort feulait
    Fins froissements fervents, forts fracas féeriques.
  179. Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  180. Je suis le gars nerveux — le beauf — pas cultivé
    Je me tire aux Saintes : l'Élysée c'est surfait.
  181. Je suis le veuf, — le sombre anathématisé,
    Cris de fée ou de sainte emberlificotée.
  182. Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l'Inconsolé,
    Aigre Nantes... Hourrah, Tours ! Hallali... Re-dors, fée !
  183. _|3 5u! |_3 73|\|3bR&(_)><, — 13 \/Eu|=, — 1'!//(0//5013,
    135 50|_|p!|25 o|3 |_4 $4!//+3 & 13$ (|2!5 o|E 14 |=33.
  184. Je suis le ténébreux, — le veuf, — le cénobite,
    Les soupirs de la sainte et les cris de l'orfraie.
  185. Moi seul sur mon tandem, – meurtri, – je ne dis mot,
    Zélés soupirs à deux zébrés d'intermezzo.
  186. Je fuis le vent nerveux, — le creux, — l'incontrôlé,
    Dégourdi semant crainte et vertiges d'Astrée.
  187. Je suis le breunété, — le feuveu, — le lésoconin,
    Les pirsous de la teusain et les cris de la fée.
  188. Je suis le sénecent, — l'abstrus, — l'ergastulé,
    Le thrène cénobite et les hourvaris fés.
  189. Je suis le Nouvel an, jeune prince Janvier
    le bonheur en amour, la santé, la fortune.
  190. Je suis le punk chyleux, — le junky, — l'aptéryx,
    Le witz d'un rock de daw, le schwa d'un slow de fée !
  191. Je suis le capitaine au donjon assiégé,
    Goûtons au chocolat, Clémentine, ô ma fée.
  192. Esprit toujours noirci, — veuvage, — heureux ? jamais.
    Tantôt sainte pleurant, tantôt nymphe criante.
  193. *
    *
  194. J'étais cet énervé, — haineux, — cet achevé,
    Des aides de ces saints qu'a trahis cette fée.
  195. Je suis Leténébreux, le veuf, le possédé,
    Des soupirs de la sainte et des cris de la fée.
  196. Suis Ténébreux-se — Veuf-ve — L'inconsolé-e,
    Râleurs-ses bénis-es, crieurs-ses coiffés-es.
  197. Je suis le blanc mouton, ma bergère me presse,
    Ne rougis pas, bergère à la bouche de fée.
  198. Je suis le malchanceux, le jeune inconsolé
    Les soupirs de Hyacinthe : « Ô veste dégrafée ! »
  199. Ah ! J'ai récupéré enfin mon héritage !
    Orphée me fait marrer. Dansons le cha-cha-cha !
  200. Je suis le généreux qui vient vous consoler,
    Les soupirs de l'étreinte et les cris de la fête.
  201. Tu fus plus brun qu'un cul d'urubu sur l'humus.
    Turlututu du Un, turlututu du nu.
  202. Je suis le comédien, — le veuf, — l'inconsolé,
    L'horreur de la relâche au temps des vaches maigres.
  203. Ride un prince asservi, — périt l'art désolé,
    Va lors un cri de troll et de sainte corvée.
  204. Je sens, — assombri veuf, — un tenace supplice,
    Un pur cri de vous, sainte, et la voix de succube.
  205. Je suis la maliette à cœur vif et fragile
    quand d’autres animaux n’ont qu’organes banals.
  206. Je suis l'enténébré, — l'as veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les chants de la fée.
  207. Je contiens vingt-quatre A, trois B inconsolés,
    Trente-huit T de la sainte et cinq F de la fée !
  208. Je suis le myst'hairieux, cap'tif, bouc et miss hair,
    Les vents contr'hairs des poils, les tralal'hair des teintes.
  209. Je fus présomptueux, — ce taf m'a étiolé
    Et soupire Gaïa sans fin à l'étouffée.
  210. Je suis le malheureux, l'auditeur esseulé :
    Par le talent sans feinte et la joie décraquée.
  211. Je suis le butyreux, — le basin, — l'acronyque
    Les bannes de la bâte et les basins de Mée
  212. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  213. On le sait dépressif — ô deuil inconsolé ! —
    Les soupirs de la Sainte et les doux cris d'Astrée.
  214. Terne veuf rance et nieur, sans compagne ni paix,
    Un zeste de limon ou d'orange malaise.
  215. Je me sens douloureux, veuf, sombre, inconsolé,
    De respiration sainte et tumulte magique.
  216. J'ai longtemps résidé sous un vaste veuvage
    Les soupirs et les cris dont j'étais stimulé.
  217. Je suis le flou brumeux, le triste inconsolé,
    des soupirs que gémit une magique fée.
  218. Je suis l'Immonde, — la Fiante, — l'Inavouable,
    Les ardeurs de la langue et la soif du décès.
  219. Je suis veuf de Bordeaux, — l'obscur inconsolé,
    Soupirs d'une sainte, et hurlements d'une fée.
  220. Ombre polyphonique, orphelin pitoyable,
    psalmodique oraison, païenne ode pouffée.
  221. Je suis ce ténébreux perdu, — l'inconsolé,
    Un soupir qu'a la sainte avec ces cris de fée.
  222. Je suis Bleubleu, jean-jean, gnangnan, inconsolé,
    Le blabla de la Sainte et le chichi de Fée.
  223. Je suis le mystérieux, le vain, l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et l'hymne de la fée.
  224. J'essuie l'été nos bœufs, lave les cochons laies
    Le saoul privé d'Absinthe a les kirs des cafés
  225. Je dis : ténèbres d'Ouille, étoile, mie, olé !
    module en phonétique ire et Scythe encor Fée !
  226. Je suis le ténébreux, — le veuf qui les promène.
    Ni soupirs de la sainte ni sanglots de près.
  227. Zsö szüi lö ténébrö, — lö vöf, — lö dézolé,
    Lé szupir dö lá vierzs é lé kri dö lá fé.
  228. De nuit en Walpurgis, ma voix d'incarcéré.
    Fût inscrit en un marbre : « Il fut seul en sa vie ».
  229. Je suis le campagnard, — le veuf, — l'admiratif,
    Les soupirs de la sainte et la fée emphatique.
  230. Messer veuf, ténébreux, mais je suis un nanti
    Magicienne : veux-tu ? Ma jeune sainte : un non ?
  231. Battling le Ténébreux, crochet gauche doublé,
    C'est l'effet stéréo, c'est la sainte et la fée.
  232. « Centre de Karambeu... Lebœuf... Bien contrôlé !
    sous les applaudissements, les coups de sifflets.
  233. Je suis le Ténébreux le Veuf l'Inapaisé
    De si pieux soupirs ou le cri de la Fée
  234. Eh bien oui maintenant je suis l'inconsolé
    Mes soupirs de la sainte et mes cris de la fée !
  235. Je suis le ténébreux, le veuf seul en ce bourg,
    Les soupirs de la sainte et les cris du gentil.
  236. Je suis le laborieux, — le prof — peu inspiré,
    À mes soupirs. Ma crainte est l'écrit réchauffé.
  237. En deuil d'une égérie, lui l'aïeul aliéné,
    L'ange de Dieu brailla élégie enragée.
  238. Je m'appelle le sombre, — homme triste, — écarté,
    La sœur parlant tranquille ou criant sa colère.
  239. Je suis le ténébreux, — le veuf, — le coryphée,
    Les soupirs de la sainte et les cris du cinglé.
  240. L'affligé ténébreux le veuf perd sa maîtrise
    chaque soupir de sainte est un cri surhumain
  241. Je suis le Malchanceux, le Veuf, l'Abandonné,
    Les rêves de l'Enarque aux lois du Technocrate.
  242. Il luit assez brumeux, — pas neuf, — l'estaminet ;
    Il soupire et se plaint d'être toujours refait.
  243. Ténébreux, chagrin, veuf, gelé,
    Sanctifiés soupirs, voix fieffée.
  244. Je vaque, dévoyé, — ou veuf, — ou dégommé,
    Aux aveux de ma mie, aux appeaux de ma fée.
  245. Je suis l'obsédé vieux, le veuf, le dégonflé,
    Les soupirs du plaisir et les cris de l'orgasme.
  246. Je suis un sonnet Pi, tout neuf, oulipolé.
    n'y voyez rien de personnel.
  247. Moi, déchu, décavé, cacique du veuvage,
    Bayez au vieux kiwi du juge hopi qui fume !
  248. Je suis Grand Aigle Noir, le veuf, l'inconsolé,
    Les soupirs de la squaw et les cris du papoose.
  249. Je suis le 10ébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs d'A10a et les cris de la fée.
  250. Avouer avoir revu le veuf, le vérolé,
    Ouïr l'air au brailleur, ou le verbe à la fée.
  251. Tu es halo, — extra, — tant déifié.
    Tantôt d'élixirs, ta fée a hué.
  252. Ténébreux, poil aux yeux, veuf, poil au crâne d'œuf,
    Les soupirs, poils qu'on tire, et la fée, épilée.
  253. Quand la fée a crié, la sainte à demi-voix
    inconsolé, car veuf et ténébreux, qui suis-je ?
  254. Moi le Sombre, — Solitaire, — si Désolé,
    Soupir de Saintes ou murmures des Morganes.
  255. Je garde l'esprit noir comme une étoile morte,
    Sortant du puits, l'amour de Phébus est pérenne !
  256. Génie trop malheureux ce poète indompté
    Las des pleurs de la sainte, riant avec ta fée
  257. Je peux me subvertir au lieu d'affabuler.
    par terreur, je me tracte au fil veuf de la vie.
  258. Je forme le peu gai, — le gris, — le vieux tari,
    Maint ouf du sage pieux et maint cri de la gnose.
  259. Fi ! saoul, gai, contraint lad ! Schwa ci décomprimai.
    Loi rugueuse — ah ! faf veut du cran, lord de la cage.
  260. J'ai les noirs et mon roi s'est bloqué sur h8.
    Comme un doux Petrossian, un Tal qui terrifie.
  261. Sombrons profond — boloss : solo, ronchon, KO.
    Kobold, offrons ton son ; golgoth, ton gros ronron.
  262. On sent mon sombre instinct, — sans conjoint, — sans entrain,
    Tant sainte un temps ronchon qu'ange enflant un instant.
  263. Il est enténébré, ermite inconsolé,
    Élue exhalant et envoûteuse acclamant.
  264. Que luise, ténébreux, un baume inconsolé
    les sabbats de la sainte et ses cris de muette.
  265. Je suis le terne Hébreu, — un keuf déboussolé,
    Qui expirent sans plainte aux cris des nouveaux-nés.
  266. Je suis l'homme masqué, le prudent, le testé,
    Les râles des réas, les guérisons en liesse.
  267. Être là et nier, — éreinté, — alerté ?
    À redire Desdi nid se déridera...
  268. Je suis le Prince noir qui tour à tour vainqueur
    J'ai traversé la seule tour et les soupirs.
  269. Je suis l'incarnation de la désolation,
    Sur des génuflexions et des exclamations.
  270. Je suis le chef nerveux du « Bœuf bien rissolé »,
    Soupière qui chuinte et riz à l'étouffée.
  271. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    les gémissements proparoxytons de la sainte et, suraigus, les hurlements de la fée.
  272. Nous neuf, noirs, nuageux, nous nous nullifiions,
    Nos nonnes nasillant, nous narrions nos nymphettes.
  273. Je suis l'aimant, le bon, le veuf, l'inconsolé
    Ni l'X, ni l'Y mais un bonheur zélé.
  274. Je vis sans temps précieux, — les jeux, — en décanté,
    On soutire en traçant la barrique entourée.
  275. Las, honni, Prince d'oc, grinçant s'il se console
    L'aboli bibelot, l'inanité sonore ! »
  276. Clair Ténébreux, veuf et joyeux inconsolé,
    Mot sourd de Sainte damnée, cri muet de fée.
  277. Je suis la balafre, le trou, la cheminée,
    Les soupirs de la sainte et les cris de l'orfraie.
  278. Elle apparaît maussade, attristée, esseulée,
    Bâillements merveilleux, féériques effrois.
  279. Isolé avili Aède désolé
    Évoé amuï ô déité ô fée
  280. Jeg swø de tænæbrø, — dem vøf incånsålæ,
    Les supirs op de sankte og de cris de la fæ.
  281. Je suis le ténébreux bonjour messieurs mesdames
    Les soupirs excédés, le mépris inhumain.
  282. Je suis tel cet hébreux, trop souvent opprimé
    Aussi veuf qu'un Orphée, un baiser me gangrène.
  283. Je suis ténébreux, le veuf et l'inconsolé
    des soupirs de sainte et des feulements de fée.
  284. Las, je vis goût amer, — si confus, — sans répit,
    Agressifs ou larvés tirs couvrant les cris fous.
  285. Je vois, c'est ténébreux, je vois votre adorée
    Aux soupirs et aux cris vous serez abonné.
  286. Inconsolé
    Maints cris de fée.
  287. J'étais triste, — anthracite, — inconsolable, — seul,
    Tes religieux échos, nos ovations infâmes.
  288. Toi, ô veuf, ô époux inconsolé et Prince,
    Soupirez, sainte ! Tu pourrais claironner, fée !
  289. Jeu cil été nez bru, — lev œuf, — lin con sot les
    Lai sou pie des las fin tes les cri des las fée.
  290. Je gémis ténébreux, veuf : dam d'inconsolé,
    Des plaintes d'une sainte et des cris d'une fée.
  291. Estous an Ténébro, — an Veu, — an méconsoul,
    Suspiracion du gra hen hurlos den magré.
  292. Rôdeur ténébreux, — de ma race dernier,
    Puissants de Middle-Earth, Arwen des Elfes, la Fée.
  293. Je suis le ténébreux et le bel aujourd'hui,
    un cygne d'autrefois et les cris de la fée.
  294. Incolore, — isolé — ivrogne, inconsolé,
    Fins froissements fervents... faites fracas forts, fée !
  295. c'est moi l'Looser qui chouine et ma meuf elle est morte
    la zoubida d'la zouz et la fée j'l'ai pécho
  296. Je fuis Le Pen et Dreux, je veux Flins consoler,
    Les soupirs de la junte et les écrits du Che.
  297. Hypoluminescent, inconsolablement
    L'évangélisatrice anticonceptionnelle.
  298. Je suis Prince des freux, le veuf, l'inconsolé
    Les croâs du corbeau et les cris de l'orfraie.
  299. Je ne suis pas heureux, ni marié, ni léger.
    Que la sainte délaisse aussi bien que la fée.
  300. Et là, c'est moi si las — le sot — le feu usé,
    Ou la fin des ris d'Ève et de la fée en Mi.
  301. Je suis le paresseux, le Fainéant, l'aï,
    Les voiles de la sainte et le bosquet des fées.
  302. L'obscurité je suis, l'absent, l'ersatz navré,
    L'extase étincelante et quelque Lou jolie.
  303. Je suis le cow-boy noir, le veuf, l'inconsolé,
    Les soupirs de la poudre et les cris de la balle.
  304. Je suis le ténébreux, — le fiévreux, — le morose,
    Les glissandi dolents de fée ou de lady.
  305. C moi le TnébrE le vEf l 1konsolé
    lé sniif 2 la 5te & lé cri 2 la fé
  306. Ténébreux, endeuillé, abattu, enfiellé,
    Geignements sanctifiés, féeriques psalmodies.
  307. J'avance enténébré, l'âme désespérée,
    Les râles de béate et les appels de fée.
  308. Je suis le Condrieu, Châteauneuf, Montlouis
    Des Côtes de Brouilly et des crus de Chénas.
  309. Foule d'ennui, sitcom, ténèbres, sanguignon,
    douchant soupir élu, thrène déjà devin.
  310. Jetez brique au licol, au maquis matou beau ;
    Partout Ours a refait soude ma faux bouffée.
  311. Un je vis sans mon une, brigand tout flétri.
    Va, module, priant : joue l'imam ou ses cris...
  312. Joyce hew lieutenant blue love of long obsolete
    Lesser peer dollar saint all agreed old Liffey
  313. Je suis l'astucieux, — scripteur, j'ai raconté,
    À la voiture crainte, à la trompe fieffée.
  314. Je suis l'impublié, l'omis, l'inachevé,
    Mes écrits sont soupirs, mon futur est délire.
  315. Je suis le poussiéreux, la cloche enténébrée
    Les bégaiements de Joyce et les cris de Pozzo.
  316. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  317. On est un ombrageux, — un amant orphelin,
    Amples exclamations après airs angéliques.
  318. Je suis par estran creux l'Éteuf que l'on dégomme
    dont l'armoise normande a refleuri ma paume !
  319. Nous sommes assombri, dolent, inconsolé,
    Dévote soupirant, ou sorcière goualant.
  320. Je suis le ténébreux qui fit un beau voyage —
    Et soupirs de la sainte, et douceur angevine.
  321. Je suis le malheureux avare inconsolé,
    Et sur le saint Dollar, et sur la monnaie russe.
  322. Je suis le ténébreux, — le veuf —, l'in10posé,
    Les soupirs d'Eury10 et les cris de la fée.
  323. Je suis désemparée, à neuf épouvantée
    en se donnant la main de Grenelle à Bastille.
  324. Grison enténébré je suis toujours en deuil,
    La sainte soupirante et la fée au cri long.
  325. Je suis le noirci, chagrin, pleurant sans mes clefs,
    À ce prix, boire devient pénible à la fée.
  326. Je suis un ténébreux, — pas veuf, — on m'a gaulé :
    Les sous que je t'appointe, ô Chérie tarifée.
  327. Je suis Gouvernement, le neuf, le remanié.
    Soupire en recoiffant Marianne ébouriffée.
  328. Noir suis, déçu, veuf amer — rude sort
    Doux airs, péan, cris sans joie, soit tout dire.
  329. I am the veuf qui, noir, est sans aucun espoir,
    Orphée lyrique aidant ... saint soupir, évasion.
  330. Je suis le ténébreux, — le veuf privé de legs,
    Mais imitant parfois l'envoûteuse qui hurle.
  331. Je suis l'athée scabreux, — le bluffeur gondolé,
    Laisse empirer la feinte et le rire esclaffer !
  332. Je suis le ténébreux, — le veuf peu décidé,
    Les soupirs de la sainte. Erreur : c'était la fée.
  333. Je suis « Le Savoureux », — le tout neuf charcutier,
    La racine de plante alors j'irai bouffer.
  334. Je suis le Révolté, — l'insoumis marxisé,
    L'ex-hymne soviétique et les cris d'un Onfray.
  335. Je suis le thé, le tétée, le tes nez, le tes nénés, le ténébreux, — le vœu, le veuf, — l'incon, l'inconcon, l'inconsolé,
    Momo, modulant toutou, tour à tour sur la la, sur la lie, sur l'hallali, sur la lili, sur la lyre d'or, dort, d'Orphée,
  336. Je reste le lésé, – le terne, – le secret,
    De cette femme Mère et des messes des fées.
  337. Dahu filant, — rote et extasie,
    Tenté, dahu fait axel... sortie !
  338. Je suis le tensoriel, le veuf, le consolé,
    Les soupirs de la sainte et le « chut » des novices.
  339. Drôle d'oiseau, comment te définirais-tu ?
    Que percevons-nous donc, ô trop vagues déesses ?
  340. Le veuf est ténébreux et son âme est gelée
    Le soupir est saint et son cri est féerique
  341. Je suis le ténébreux de la palle jaunisse,
    Les soupirs de la sainte et mauvaise sentence ?
  342. Je suis l'industrieux, — le ver, — l'incoconné,
    La soierie et la sainte, et l'arbre du bombyx.
  343. Je suis le Chihuahua, — le Clebs, — l'Ardennais,
    Les soupirs de la crainte et les cris imparfaits.
  344. Maniacodépressif anathématisé,
    Avec l'enchanteresse instrumentalisée.
  345. Je suis le ténébreux, — l'amer, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  346. Je suis un pain perdu, sans beurre, inconsolé,
    et livré en pâture à un écriveron.
  347. Ténébreuse viduité inconsolée !
    Soupirantes, féeriques exclamations.
  348. Je suis T'es-né-hébreu, — le Veuf, — l'Inconsolé ;
    Les deux grands Testaments — l'Ancien et le Nouveau.
  349. Je me révèle sombre, — ignoré, — le morose
    L'ahan bref du profès au brame fou profane.
  350. Je suis l'ombre de Dieu, l'ogre de Tartarie,
    les fureurs du corsaire et les cris du barbare.
  351. Je suis un veuf obscur, un martyr recalé,
    Bas soupirs d'ultra sainte, immoraux cris de fée.
  352. Le venin, le veuvage, ô vie et temps de fox,
    Une lyre d'Ophir inspire l'équinoxe.
  353. Je campe ténébreux, — veuf aède, — isolé,
    Soupir kitch d'âme juive ou bagou qu'a la fée.
  354. Être le ténébreux, le veuf, l'inconsolé,
    Soupirer une sainte et crier une fée.
  355. — Jessy, là, t'es né beur ? Larve ! Œuf et l'cassoulet !
    C'est lourpidon l'enceinte, elle écrit délacée.
  356. Je suis le hooligan, le beauf, le déchaîné,
    Dribbles et petits ponts, têtes dans la mêlée.
  357. Hère sec dans la gêne à sale mine ou groin,
    Et hurler ou pester la fée en stances graves.
  358. Je suis le noir cafard, plat et dur corselet,
    Les soupirs du carabe et les cris du grillon.
  359. /ʒə ˈsɥi lə teneˈbʀø lə ˈvœf lɛ̃kɔ̃soˈle
    le suˈpiʀ də la ˈsɛ̃t e le ˈkʀi də la ˈfe/
  360. Il cache le délice, il lâche sa Chloé,
    Docile à la saillie, Léda l'idéalise.
  361. Je suis le victorieux, — le neuf, — le contrôlé
    On soupire de crainte : ici ça va chauffer.
  362. Je suis le ténéschtroumpf, — le schtroumpf, — l'inschtroumpfolé,
    Les schtroumpfirs de la schtroumpf et les schtroumpfs de la smurf.
  363. Je suis le comateux — switch off sous l'oreiller —
    les vapeurs de l'absence et l'oubli par bouffée.
  364. Depuis qu’il est allé bronzer au Pausilippe,
    de voir l’inconsolé faire le bel esprit.
  365. Je suis le Ténébreux, le Veuf, l'Inconsolé.
    je ne puis qu'écluser mon spleen jusqu'à la lie.
  366. Ni veuf, ni ténébreux, je me suis consolé
    rendu sur l'autre bord je dis toujours merci
  367. Je suis le débutant, — trop neuf, — ensorcelé,
    Quand la pire contrainte est le prix du trophée.
  368. Je su¡§ £& t3ñ&br3üx, — l3 veµf, — l'¡ñcØn$øl3,
    Les søupi®s Ðe £a sÄinte et £e§ c®¡§ de lå fée.
  369. Je fuis le thé hébreu, le vin, l'œuf consommé,
    Des soupers, de l'absinthe, les écrits de Fallet.
  370. Je suis le très nerveux, le vif, l'incontrôlé,
    Les soupirs de plaisir, les plaintes étouffées.
  371. Être roi retraité, — raturé, — torturé,
    Ta note et ton antienne à nonne anéantie.
  372. Je suis le ténébreux, un veuf inconsolé,
    Aussi bien soupir saint que haut cri féerique.
  373. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Et le front rouge encor du baiser de la fée.
  374. Baronnet à la veine atone, terminée,
    Ce récit tapageur fringant m'aiguillonnait.
  375. Mon frère ténébreux, veuf, triste, inconsolé,
    Les soupirs et les cris que je ne peux t'écrire.
  376. Consolé,
    Pour la voir soupirer décoiffée.
  377. Je suis le traversier, le fleuve contourné,
    Souillon nue, à l'absinthe, à la rue, dépravée.
  378. Je suis le son du cor le soir au fond des bois,
    Son éternelle plainte au chant désaccordé.
  379. Nous sommes ténébreux, veuf et inconsolé,
    Soupirant comme sainte et criant comme fée.
  380. Encore ressasser ce consternant sonnet,
    « Oh ! ce salamalec ! cela m'a las écho... »
  381. À moi, mon chagrin ! Aigri, bourru, sans nul rut,
    Nos cris fous, babils, soupirs, sanglots saints ou sots.
  382. Je suis le Président, — si seul, — indésiré,
    Des dégâts de la veille aux marchés financiers.
  383. Je suis le trente-deux, — le neuf, — l'un au carré,
    Laissons pi deux fois cinq : c'est Leibniz qui l'a fait.
  384. Je suis un initié tout neuf non empaillé
    Les cris des officiers, les soupirs du couvreur
  385. Je suis le Dracaufeu, — l'Arbok, — l'Inconsolé,
    Les soupirs de Tortank, les cris de Mélofée.
  386. Si tu es Ténébreux, Veuf et Inconsolé,
    Alors cris et soupirs jamais plus sots seront.
  387. Je suis le Nébuleux, — le veuf, — l'inconsolé,
    les sanglots de la sainte et l'aboi de Méduse.
  388. Je suis le ténébreux dont on a pris le FORT,
    Modulé comme Orphée en des chants que je PRISE.
  389. Je suis le ténébreux, le veuf, l'inconsolé,
    Tes soupirs, des Esseintes et tes cris, René.
  390. What a man pas marrant, sans nana, sans calmants,
    La Callas ahanant, La Flagstad flambant l'art.
  391. Je suis le malchanceux, — pas neuf, — le bricolé.
    Et le navire sans crainte est parti comme un jet.
  392. Je suis le néné creux, le mou, l'inconsolé,
    Ma crainte d'être enceinte... et mes grands cris d'orfraie.
  393. J'en suis vraiment joyeux, — c'est neuf, — c'est bien gaulé,
    De croupir, la crainte ils l'auront bien étouffée.
  394. Veuvage ténébreux des hommes de Lesbos,
    Les soupirs de Lénée et les cris d'Iacchus.
  395. Je suis l'assombri, le sans femme, l'attristé,
    Un babil de l'abbesse ou le cri de la fée.
  396. Je suis dans le Soleil, — le neuf, — l'inconsumé
    L'éclair de ma genèse, Ô âme rencontrée.
  397. J'ai changé mes moyeux — tous neufs ! — ça va rouler,
    Soupiré à Aspin, Aravis, Tourmalet.
  398. Je suis l'Ahasver hâve, à nul ne puis m'unir,
    Les jurons de l'ânier au bourricot navré.
  399. Ténèbres : je pâlis, ô veuf ! Qui m'a déchu ?
    Soupirs béats de juive, ou fée qui semonce « ugh ».
  400. Oh j'ai perdu l'alpha tout comme l'oméga
    Les sigma de la sainte et les cris de la fée.
  401. Je suis petit salé, lentille, et veau grillé,
    Les gâteaux de la fête et puis les entremets.
  402. Je suis le romantique, le sot, le tourmenté,
    Le destin de mon temple et l'amour de m'amie.
  403. Je suis le tir à l'arc, — la voile, — le jetski,
    Les squashs du scooter et les crickets du flysurf.
  404. Je suis l'hypnotiseur, — le petit, — ou le grand,
    À la femme croyante, à la femme soignante.
  405. Je suis ombre et chagrin
    mixe extase et magie.
  406. Je suis le Tendronneux, le Bœuf, le steak-haché,
    Les saveurs de l'assiette et les crûs du Bordeaux.
  407. Le décès m'enténèbre entre échecs et revers ;
    Les thèmes de fervents et de fée effrénée.
  408. Je suis le ténébreux, le veuf, l'inconsolé,
    Pour pêcher dans l'Enfer des étoiles nouvelles.
  409. Jetons sur Le Tellier, le vide, l'inutile,
    Lors, soûl de lard, sans eau, lappe ce doux lait froid.
  410. Je suis la 2CV, — la Vraie, l'Indémodée,
    Les « teuf-teuf » du moteur, les « bip-bip » du klaxon.
  411. Tu es le boutonneux, le con vermiculé,
    les soupirs du minable et les cris du vulgaire !
  412. Aliéné nié Séide désolé
    Évoé amuï éLyséen ô fée
  413. Je suis le très traqueux, le vert, le liquéfié,
    « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? »
  414. Je ne goûte ample joie, — je sanglote, — isolé,
    Outre une moue de sainte, une nymphe criante.
  415. La mer qu'on voit danser, — le veuf, — l'inconsolé,
    Elle a bercé mon cœur et les cris de la fée.
  416. Je suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  417. Je suis — Éden heureux — l'hôte de Grandvillé :
    ce qu'inspire sans crainte une exquise assemblée.
  418. Je suis morne, morose et sombre, — solitaire,
    Des hymnes de fidèle ou d'athée féerique.
  419. J'ai joué au vieux veuf, — opaque, — j'ai gémi,
    J'ai mugi ma java au boui-boui impudique.
  420. Mon
    Vies.
  421. Je pleure à Bordeaux, sombre, chagrin, veuf au monde,
    Cris aux saints soupirs, ivres, lyres, c'est la fête !
  422. Je fus le généreux, le seul, l'incontrôlé,
    Sans qu'on offre une absinthe à ma gorge assoiffée...
  423. Je suis albugineux, sang de bœuf, bariolé,
    Les saphirs de l'absinthe et les gris bigarrés.
  424. Je suis l’enténébré, le mari désolé
    Pour qu’au lieu de soupirs, j’ai les cris d’un succube.
  425. je reste enténébré, morose, abandonné,
    ronronnements sacrés et chansons d'une fée.
  426. Je suis la triste cité veuve dans la nuit.
    Dont les saints soupirs bruyants masquent le long rire.
  427. Ci-devant ténébreux, veuf, voire inconsolé,
    Sainte pleureuse avec sorcière glapissante !
  428. Je suis foncé, — le veuf — inconsolé,
    les soupirs sainte et les cris des Fee alternant adaptant.
  429. Je suis le ténébreux, — le veuf, — le pathétique,
    La sainte soupirante et la fée agressive.
  430. Je suis le Ténébreux — ou l'hypocondriaque,
    Où la sainte et la fée célèbrent l'Oulipo.
  431. Fée ô ténébreux cri fût-il qu'inconsolé
    Inconsolé qu'il fût cri ténébreux ô fée
  432. Je jeûne névrosé, — séide désolé,
    Temps psalmodiés, essor, orchestral alchimiste.
  433. Je suis le Prestigieux, le vieux rafiau coulé.
    Les sourires d'absinthe et les cris des préfets.
  434. Infant bafoué, — veuf, — à Pau fief abîmé,
    Ahans béats, ma môme, et be-bop à poupée.
  435. Je suis Maître Corbeau. Sur un arbre perché,
    Ah ! le noir du tombeau, ah ! quelle horrible poisse !
  436. Ye suis lou ténévrux, — lou vuf, — l'enconsoulé,
    Les soupirs de la sente et les cris de la feio.
  437. Je m'évoque fumeux, — boueux, — veuf, — bafoué,
    Bouffée au Dieu de paix ou voix magique impie.
  438. GEFait le ténébreux, le veuf, l'inconsolé
    GEFendu de soupirs et la sainte et la fée
  439. Je suis l'inconsolé, — le veuf, — le ténébreux,
    Des appels de la fée aux soupirs de la sainte.
  440. Ego, l'être vil, apporte le mal, lésé ;
    Rime. Sel. L'âme, le trop pâli, vert éloge.
  441. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  442. Je suis le songe-creux, le bug déboussolé,
    Les loisirs de la teinte et l'écrit du café.
  443. mon morne cœur se noue en sa veuve cassure.
    ces murmures sauveurs — ces sermons monacaux.
  444. L'enténébré, — l'inconsolé je suis,
    Qui souffle et d'impétueux cris du mage.
  445. Il se cache, asocial — l'isolé, scoliosé,
    A l'ecclésial écho des saillies, des « à l'aide ! ».
  446. Je devenais affreux vieux script déboussolé
    Les soupirs de leur crainte et leur grogne étouffée
  447. Je suis un poids léger, — crochet que j'ai collé
    Souvenir qui suinte et sono étouffée.
  448. Suis-je le Ténébreux, le veuf, l’inconsolé ?
    les soupirs d’une sainte et les cris d’une fée.
  449. Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l'Inconsolé,
    Félin sourd aux soupirs et aux cris de la Fée.
  450. Je suis l'année dix-sept qui vient de commencer.
    en de tendres soupirs ou en cris de rebelle.
  451. Suis-je objet malheureux ! Mon père est offensé,
    Mais ensemble amoureuse... Ah ! La perte assurée !
  452. Je suis déraciné, — j'ai perdu l'Algérie,
    J'y resterai, pour le couscous que t'y me fais.
  453. Je suis le ténébreux — le veuf,
    les soupirs de la sainte et ses cris.
  454. J'ai eu le tétanos, le flush, l'impétigo,
    les vapeurs du cloaque et les poux des tranchées.
  455. Je suis le Lumineux, — l'Époux rasséréné —,
    la pécheresse apnée et le Silence occulte.
  456. Je suis privé de dot, — roi qu'à tort Zeus en ses
    Brassens ou Valéry, de Sète, s'en dit suite.
  457. La nuit c'est ténébreux, le feu vient l'annuler
    Dans des spires sans fin, taris dans le passé.
  458. Je ne suis qu'un ténébreux, veuf, inconsolé,
    Ou les soupirs de la sainte, ou les cris de fée.
  459. Pampa du Ténébreux, du veuf, de l'exilé,
    Olé la Floralis Genérica, Péon !
  460. Le veuf, le ténébreux et le prince aujourd'hui
    Qui mêle soupirs saints, cris de fée, chant du cygne.
  461. J'ai trouvé un sonnet qui décrit un poème
    Correct, mais assez plat : je lui accorde treize.
  462. Je suis le vénéneux à ne point consommer,
    Les soupirs des gourmets, leurs cris empoisonnés.
  463. Je suis le sibyllin, — l'affaibli, — l'accablé,
    Du sanglot d'Avvakoum au korrigan outré.
  464. Je penche sombre au sol, veuf d'un sac attrapé
    L'écu d'or de la sainte, au matin, pour la fée.
  465. Je suis un Ténébreux, — le meilleur d'entre nous,
    Comme sous Louis Quatorze un Fouquet qu'on accable.
  466. Je suis le ténébreux, — perdu, — inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les cris de sorciers.
  467. Je suis le courageux, le fils de Skywalker,
    Les soupirs de Yoda et les cris « Liberté ».
  468. Je suis ce Solitaire au sort inconsolé,
    Ces saints soupirs et ces lamentations de Fée.
  469. Sanson sait Sissi seule, assassinée assise,
    Les soupirs de sa sainte et ses bises blessées.
  470. Il ploie en pleurs, l'aïeul à l'oubliée ampleur,
    Enflent l'alléluia, l'olé glial à laie.
  471. Aboli bibelot, que la Tour abolie :
    Dont le Néant s'honore — un Phénix l'a brûlée
  472. J'ébruite ce laid nœud, le vain son, l'œuf collé,
    les sourcils de la pinte et la fidèle craie.
  473. Je suis le tévanévabreux, — le veuf, — l'inconvasovalé,
    Les souvapirs de la sainte et les cris de la fée.
  474. J'unis le ténébreux, le veuf, l'endolori,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  475. Je fuis le tout-reubeux et le keuf isolé,
    Les euros de l'Europe et l'UMPS fée.
  476. Je suis le Ténébreux, de la nue accablé,
    Les enfants de la Sainte et le flanc de la Fée.
  477. C'est toi l'assombri Kay luttant d'opacité,
    module en phonétique ire et Scythe encor Fée.
  478. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la mie ou les cris de la fée.
  479. Le soleil ténébreux d'un crêpe inconsolé,
    Qui ne crie : Ô soupirs, Belzébuth de la fée !
  480. C'était toi le sombre homme et l'odieux solitaire,
    En mots du lent méchant qu'aux morts fait peu salir.
  481. Je rage : pourrira l'époux inconsolé,
    Primo l'esprit yodlé, deuzio de rigolade.
  482. Je suis Le Tech (66) né Breux (55) — le Veuves (41), — Linthes (51) Comps (26) Saulieu (21),
    Les Soupir (02) de la Saintes (17) et l'Ecrille (39) de la Féy (57)
  483. Je pâlis, isolé, morose, démoli,
    Du râle du divin à l'orage du mage.
  484. Je suis le ténébreux, — chau20, — inconsolé,
    Les soupirs du di20 et les cris de la fée.
  485. déprimé dépourvu de dame de délice
    deux dictions, diva de Dieu, démiurge décèle
  486. Je suis l'albinos blême et seul, au teint de lait,
    Les soupirs de la plainte et des cris de révotl...
  487. Être lugubre, — seul, — épars, — inconsolé,
    Tempo tant exprimant théologienne et fée.
  488. Je suis le Charolais, le Bœuf, le Maine Anjou,
    Je pleure la Camarguaise et prie le taurillon.
  489. Je fais ténébrion comme pli consolé,
    cent soupirs de ramas : tant Fauve y bourrait Fée !
  490. D'âme de fer en ténèbres, sans avaleur
    D'être passé rassis que l'avenir radie !
  491. Je suis le gentleman, — le Sir, — le lord anglais,
    De pie, de bière tiède et de toasts au cheddar.
  492. Je reste enténébré, régent de mes revers
    Le thème et le secret des fées et des prêtresses.
  493. Ce ne sont pas le veuf l'inconsolé,
    Par les rayons et les cris de la fée.
  494. JE SUIS LE TENEBREUX   LE BLET   L INCONSOLE
    LES SOUPIRS DU SI SAINT ET LES CRIS DE LA FEE
  495. Je suis le sulfureux, — l'ose, — l'hypophosphite,
    Les anneaux de Raschig en milieu isomorphe.
  496. Je suis le ténébreux, — le veuf traîne-semelle
    Alternés avec doux chants de Jeanne Moreau.
  497. Je serais l'obscur fils, — l'amer veuf, — l'hoir volé,
    Soupirs de sainte émue et clameurs d'aigre fée.
  498. Je suis le lumineux, polygame et, comblé,
    Les hauts cris de Satan, les silences sorciers.
  499. Je suis l'enténébré, — le vif, — l'être abattu
    Les soupirs de la mère et les cris de la fée.
  500. Je suis le ténébreux par qui tout dégénère,
    Moi qui passais par là, je crus voir une fée.
  501. Je suis un flacon vide, un veuf inconsolé,
    Les souffles, les soupirs, et les cris de la fée.
  502. Je suis le veuf, le ténébreux,
    Le ténébreux tour, coryphée.
  503. Alaingénieur chimiste aimant bien rigoler,
    Alaincantation sainte, Alainpur cri de fée,
  504. Hombre sombre je suis, — hoir noir et tendre gendre,
    De mainte sainte aux gris iris en pire rire.
  505. Je suis le monstrueux, – l'erreur, – l'inenrhumé,
    Mes soupirs pour Roxane et l'horreur de mon nez.
  506. Vous voilà vaporeux, — vieux veuf, — veau vitrifié,
    Vos versets virginaux, vos vibrantes voyelles.
  507. L'homme au sort érodé — l'âme à l'arrêt laissée :
    S'égaler à l'oral à la messe et la fée.
  508. Je suis le lénébreutem, — le veuf, — le linconsolévem,
    Les loupirsé de la laintesé et les licrem de la léefem.
  509. Je suis le Ténébreux, — le Veuf, — l'Inconsolé,
    Mots du lent souffle de Sainte et du cri de Fée.
  510. Il est le lumineux, l'époux, le consolé.
    Le ronron des damnés et le chut des novices.
  511. Je suis le ténébreux taillé dans l'or massif.
    et le naufrage horrible ; et mon luth constellé.
  512. Je suis le très benêt, — le Veuf, sain, long, collé,
    Les fers saints de la soute et les cris de la pie.
  513. Strider ténébreux, — pas marié, — esseulé,
    Les peuples de ce monde, et Arwen, l'Elfe-Fée.
  514. Jeannoirci sans amour, je suis inconsolé
    Jeanne d'Arc soupirante et Jeanneton fieffée
  515. Ai l'air de sang de jais, — décavé, — sans ses aides,
    Sens saint béat et airs sans haine.
  516. Suis-je le ténébreux, le veuf, l'inconsolé ?
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée ?
  517. Je suis le Ténébreux qui plie, inconsolé
    Comme on supplie : ô Fée, ô sainte Cantilène !
  518. Je suis un vieil inuit au fou katajjaniq,
    Un naïf air d'antan au charme monotone.
  519. Je suis le tensoriel, le vieux, l'inconsommé
    Les sourcils de la salle et les crics de la fouée.
  520. Me résume refus, — veuf veule, — le damné,
    Yodleraient dame Mas, faims féminines, sienne.
  521. Je veux l'élu bénef, le Suisse incontrôlé,
    Dépouillant les recels des aises tarifées.
  522. Je suis le glauque esprit, — le barman sans pourboire,
    Ces choses qui de l'un pour l'autre sont laissées.
  523. Je suis ténébreux, veuf, inconsolé,
    Des soupirs de sainte et des cris de fée.
  524. Je suis Plantagenêt, — Duc d'York, — etc.,
    Qu'un Destrier fringant du Remords me délivre !
  525. Et las des Élysées, — si dur, — il chancelait,
    Sa douleur il crie, hurle, aux djinns où est le dais.
  526. Noir, benêt, nu l'été tel un ténébrion,
    Sème opium, arioso, soir amuï, poèmes !
  527. Tu es le lumineux, — le jeune époux comblé,
    Le rire des putains et le chant des armées.
  528. Je sius le térebnuéx, — le vuef, — l'iolocnsné,
    Les sroiups de la stinae et les cirs de la fée.
  529. Je suis un importé, dans ç'ginre non accoté,
    Cacassements de fées, criant Sainte-à-Paupiette.
  530. Sinistre, soucieux, solitaire, songeur,
    Soit soupirs sanctifiés, soit sourds sanglots secrets.
  531. * Sitôt qu'a disparu le coupable immolé,
    * Tenant de mille cœurs un superbe trophée.
  532. Moi l'obscur roi maudit, – l'aigri, – l'insatisfait,
    Vos sacro-saints soupirs aux cris sourds du palais.
  533. Je suis le Ténébreux que vous savez sans doute,
    Les soupirs de la Sainte et que j'ai des amis.
  534. Il était une fois un veuf inconsolé,
    « Il ne but plus jamais », nous dit le coryphée.
  535. Je suis le boutonneux, le hâve au cul pelé
    De la graisse de porc et de l'huile camphrée
  536. Moi le clair, consolé, le bienheureux marié,
    Les motets de la gouine et les ris de la naine.
  537. Affligé, accablé, l'alliage affaibli,
    Bée le babil de l'Hadj, bégaie hi-fi de fée.
  538. Je suis l'obscur mortel, — le veuf, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et hurlements de fée.
  539. Jœuf Huy Luton Evreux, Elbeuf, Lincoln Solesmes,
    Lesse Oubir Dallas Saintes Conakry De la Fé.
  540. J'étais la ténébreuse onde au charme inviolé,
    Vaniteux le savant et la foule bluffée.
  541. Je suis mourant, l'Auguste à l'air inconsolé,
    Sans doute est-il un Seuil à l'ombre du Trophée.
  542. Tu l'es, le gris, le veuf, le sans patrie,
    Livide mais câline, immuable fait.
  543. Je suis le Très Douteux, le Taux dissimulé,
    Les risques de l'Impôt, et la Loi modérée.
  544. Hélas ! inconsolé, je suis ténébreux, triste,
    Aux cris de fée impurs les mystiques soupirs.
  545. Ego tenebrentis, solus, inconsolem.
    Sancta suspiramus, gementes virginem.
  546. Je suis le Président, le Bush, l'Inconsolé
    Son peuple, ses amis, et Monsieur Kim Jong Il.
  547. Un froid et ténébreux silence dort à l'ombre,
    Ta bouche n'est qu'aux cris, au creux de cette roche !
  548. Mal ombré, — calciné, — perdant cet olifant,
    Alawite flexion, zézayante bouzine.
  549. Je suis l'ordinateur, — tout neuf, — déjà planté,
    Élémentaire feinte à ce prix pardonnée.
  550. Il est lassé, taiseux, — l'oeil suintant, — sans son pote,
    Les plaintes de la sainte et l'appel du téton.
  551. Je suis Le Grain des Peu, — le Feu — , L'x immolé,
    Juste mes Bribes d'ADN, Je(u) Dont le tri On Phait.
  552. Je suis le petit lion, — le loup, — le bouclier
    Les soupirs de la vierge et les cris de Céphée.
  553. Je suis le noir mineur, chômeur déboussolé,
    Le chant du P'tit Quinquin et l'Internationale.
  554. Je suis le ténébreux, — le deuil, — l'inconsolé,
    Les soupirs de la sainte et les arts de la fée.
  555. Chuis hyper malheureux, orphelin, amoché,
    Cher archange exhalant, nymphe hurlements déchaîne.
  556. J'essuie le vingt-deux, le vingt-neuf m'a frôlé
    Ah ! Voir surgir le trente et s'écrier « Villiers » !
  557. Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé,
    Les soupirs de la Science et les cris de la Créativité.
  558. Je suis le Généreux, le Bluff, l'Incontrôlé,
    Et l'as des as Trouve le magnifique d'un enfant...
  559. Fellah, décris-les, tes seins las de pire soûle,
    Les sauts qu'on l'un : veuf, l'Hébreu n'était. Le suis-je ?
  560. Veuf de deuxième classe, en un train désolé,
    J'ai senti les soupirs de la locomotive.
  561. Je suis le vénéneux, — le bluff, — l'ingondolé,
    Des soucis de catin et les miches cassées.
  562. Je suis le ténébreux, — le veuf, — le constellé,
    Les soupirs de la sainte emmi les cris d'Orphée.
  563. Je suis l'invertébré, le ver dans le mûrier,
    Les murmures sans fin de la soierie griffée.
  564. Je suis le ténébreux — putain, con, enculé !
    Les soupirs de la Sainte — ou pire... euh ! la Santé !
  565. J'essuie : le Taine hébreu ne veut fleins qu'on salait.
    Laisse où pis de l'absinthe et l'écrit de l'affre est.
  566. Untel, un ulcéré — unique — un ure usé,
    Une ursuline ulule un ut, un ultrason.
  567. Je suis le petit « e », juste un « 9 » inversé.
    Et soupirant ravies : Cet écrit, qui l'a fait ?
  568. Je suis we ténébweux, — we veuf, — w'inconsowé,
    Wes soupiws de wa sainte et wes cwis de wa fée.
  569. Je sais un ténébreux, un bœuf inconsolé,
    il finira tantôt roast beef à l'étouffée.
  570. Je suis le tabellion, — le verg, — l'impositeur,
    Le sartre du sachier et le crieur falot.
  571. Je drue le trémadie, le buf, l'irrémalé,
    Les glapets de la vouze et les cracs de l'affée.
  572. Je suis le ténia bleu, — le bœuf, — l'invertébré,
    Les tapirs de la dinde et les krills de la raie.
  573. Ô Muse prête-moi donc ton luth constellé !
    Était signe augurant la destruction certaine.
  574. Je suis le ténébreux gai comme un sansonnet,
    Il s'en alla disant : « Et les cris de la fée ? »
  575. Je soussigné le temps, — le veinard, — l'inconscient,
    Les soundclouds de la Sarenza et les Cristiano Ronaldo de la Fée Clochette.
  576. Je suis le fou des nuits, le veuf, aux pleurs sans fin,
    Les bouh ! bouh ! de la sœur et les cris de la fée.
  577. J'étais cet être oiseux, — si vain, — cet hérissé,
    Aux saints conseils sensés très usés de ces fées.
  578. Je suis l'œuvre ennuyeux, — bof —, le fac-similé,
    soporifique, éteint... bref, gris d'un trop long prêche.
  579. Je suis l'assombri, le veuf et l'inconsolé,
    Les soupirs de sainte et les hurlements de fée.
  580. Je suis le laborieux, — le bob, — le harcelé,
    Les soucis de l'absinthe et le prix du café.
  581. Les Français sont nombreux, — c'est neuf ! — déboussolés.
    Tes soupirs, c'est la crainte arrivant par bouffée.
  582. Je suis le très benêt, seul con, fin, le veau laid,
    Loue la spire et deux seins ta queue laide.. il l'effraie !
  583. L'exquis mets vénéneux se meurt incorporel,
    ne toupille sa main entre écrit et sagesse.
  584. C'est bien moi l'ombrageux, — le veuf, — le strangulé,
    Maint soupir de la sainte et la clameur magique.
  585. Je suis le ténébreux, le veuf désespéré,
    Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.
  586. Je suis le ténébreux, — le veuf, — l'inconsolé,
    J'unis Euphronios pur à l'orphisme attendri.

Le tête-à-queue consiste à accoler la première et la dernière phrase d'un livre, ou le premier et le dernier vers d'un poème. Il est ici appliqué aux 586 avatars de Nerval qui sont des sonnets (sur 721 avatars en tout), dans un ordre aléatoire. En cliquant sur les premiers mots d'un distique vous accéderez au sonnet dont il est tiré.


© les auteurs – 2005